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 [BG] Lanyah Mozah

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AuteurMessage
Zenaïs Saab

Zenaïs Saab


Messages : 14
Date d'inscription : 11/02/2020
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MessageSujet: [BG] Lanyah Mozah   [BG] Lanyah Mozah EmptyVen 19 Juin - 23:12

Nom : Lanyah Mozah

[BG] Lanyah Mozah 10447210

Le destin a sa raison que l’on ignore la plupart du temps. Lorsque deux personnes issues de milieu différent s’attachent, ce n’est une façon de plus que de démontré qu’il est maître. Harassan Mozah, née au sein d’une famille riche et respecter, prit pour épouse Tumerlia Bacconir, fille du peuple, pauvre et sans histoire. Leur mariage fut heureux et y naquit leur fille. Ils la prénommèrent Lanyah. Voilà Lanyah Mezah, c’est moi.
Depuis mon jeune âge on me dit que j’ai tout de ma mère; cheveux bruns aux reflets roux, lèvres pleines, moyennement grande aux formes là où il faut. Ma peau bronzée met en évidence ce que j’ai hérité de mon père : ses yeux verts encerclé de noir.

Dû à son choix de femme qui était désapprouvé par les Mezah, je n’eus pas une éducation intensive comme certains autres membres de ma famille. C’est une chose qui a toujours fait mon affaire puisque j’avais plus de temps pour explorer les environs avec ma cousine rebelle Cheikah Mozah. Je l’ai toujours énormément aimé! J’ai rencontré de nombreuses fois les autres membres de ma famille paternel, mais ils n’ont pas vu d’intérêts à nous aidés outre mesures.

Nous vivions bien. Mon père était un guerrier respecter de ses pairs et survenait à nos besoins.
Un jour, il ne revient pas de sa mission. En fait pas entièrement. Il avait eu un coup d’épée à la tête. Il fut en convalescence six mois durant. Du haut de mes sept ans, j’aidais du mieux que je pouvais en allégeant les responsabilités de ma mère, qui elle prenait soin de mon père. Je passais le plus clair de mon temps à l’écurie où je prenais soin des chevaux.

Ce fut une période d’incertitudes. Premièrement Vis à vis mon père, mais aussi de notre vie en général.
Un beau jour, après six mois, mon père se réveillât. Le bonheur, la joie et l’amour allait enfin recommencer! Cette euphorie fut de courte durée.
Harassan n’était plus Harassan.

Ses crises psychotiques brisèrent le peu de liens qu’il nous restait avec ma famille paternelle. Ses crises furent de plus en plus fortes. Ma mère qui était à ses côtés, me maintenait en sécurité. Il est dur de toujours surveiller une personne, surtout lorsqu’elle est plus fort que vous. Cette soirée là j’étais à l’écurie lorsque j’entendis un pas lourd derrière moi. Ce qui me donna des frissons de peur fut le tintement du métal, qui semblait se trainer au sol en cognant les objets. Instinctivement, sans me retourner, je me cachai avec mes amis fidèles, nos chevaux.
Une plainte sourde se fit entendre et ma mère apparut. Les souvenirs de cette soirée, sont toujours brouille dans ma mémoire. Durant la nuit, ma mère m’amena chez sa mentor d’autrefois, Babazyra, une vieille femme que plusieurs appelaient palefrenière, étant donné sa grande complicité avec les chevaux et sa facilité à les dressés.  C’est une personne vivant au milieu de nulle part, à l’extérieur du village. Son mode de vie était minimaliste et en symbiose avec la nature. Ma mère ne restât pas avec moi, elle repartit aussitôt arriver. J’attendis des semaines qu’elle revienne, mais elle ne revint jamais me chercher.

Babazira prit soin de moi, m’apprit à survivre avec peu, ce qui fut pratique lors de mon KAS-WAN. Elle accentua en moi l’amour des chevaux qui devint une facette primordiale de ma vie.
À l’aube de mes quinze ans, j’alla au village comme à l’habitude pour chercher certaines provisions et ramener un cheval nouvellement dressé à son propriétaire. Le fils de celui-ci me montra de l’intérêt pour me marier. Je refusai son offre. J’entendis ses railleries, mais une en particulier me figea de terreur. Il me dit que je finirai de toute façon comme ma mère. Pendue.

Ce soir-là Babazyra me conta ce quelle avait gardée pour elle des années durant. Elle avait eu des ouï-dire de villageois qui disaient que dans un élan de folie, ma mère avait tué mon père d’une flèche dans le dos. Selon les dires il gisait dans l’écurie, arme à la main. Elle fut traitée en meurtrière et fut pendue le lendemain.
Cela me prit du temps à accepter le destin tragique de mes parents. En date de mes dix-sept ans, c’est à mon tour de suivre mon destin. Je prie tout les jours Aon qu’il soit meilleur.
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[BG] Lanyah Mozah
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