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 Le règne du mal

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Zdravo

Zdravo


Messages : 6
Date d'inscription : 17/04/2020

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MessageSujet: Le règne du mal   Le règne du mal EmptyVen 17 Avr - 15:58

Épilogue

Kesh Sulpicius, était un grand et puissant guerrier de la légion. Il était plus grand que la moyenne d’au moins une tête et avait une impressionnante musculature. Forger par plusieurs années de formation de soldat de mêlée. Il était le pilier le plus solide au milieu de la ligne de front. Impressionnant sur le champ de batail par sa corpulence et son adresse, il était en mesure par sa simple présence faire tourner les batailles de façon favorable. Il était très apprécié par ses frères d’armes car il ce souciait bien plus de ces soldats que de sa propre sécurité. Après une apte bataille contre une insurrection contre l’empereur, la 23e légion avait écrasé leurs ennemis en subissant de lourde perte. La légion était de retour au camp pour ce réapprovisionner et récupéré des forces avant de retourner dans la capital. Fatigué, Kesh se décrassa un peu et rejoint ces frères autour du feu. Les heures passa et les légionnaires s’arrosa le gosier abondamment. Le sergent Qoortis, rejoignis ces soldats alors que ces derniers était déjà bien affecté par l’alcool. Ce dernier les félicita et leur offrit la prochaine tourné. Les servants qui accompagnaient le sergent, Kesh ne les reconnaissais pas. Pourtant cela fessait déjà un long moment qu’il servait dans la légion, il se dit que ce devais être des recrus fraichement débarquer de Citria ou bien que l’effet de l’alcool troublais sa vue. Une fois les chopines bien remplissent par ces derniers, le sergent et les nouveaux partir plus loin. C’est le dernier souvenir que Kesh eu de sa soirée. Kesh et Lucius avait passé une partie de leurs adolescences ensemble. À l’âge de 18 ans, Kesh était au près de Lucius lorsque les parents de ce derniers avaient été assassinés lors d’un brigandage en banlieue de la ville. Tous 2 avaient péries de la plus ignoble des façons, lâchement violé et décapité sur le bord de la route alors qu’ils se rendaient prié en lieu saint. Par la suite, alors que tout 2 avaient fêté leur 18 ans, ils c’étaient engagé et firent leur camp d’entrainement militaire ensemble a Citria. Kesh voyait un frère en son ami, ils avaient vécue beaucoup des choses et d’émotion ensemble, il c’était créer un lien très fort ensemble.  Lorsque Kesh c’était marié a Githalia, Lucius étant sa seul famille, il avait été son témoin. Sa femme était d’une beauté naturelle, un large buste, des courbes bien découpées fessant tourné tous les têtes lorsqu’elle passa. Son visage était illuminé, les cheveux roux bouclés elle dégageait une aura de sexualité. Lucius reçu un rôle tout autant important lorsque la venu du fils de Kesh arriva. Lucius qu’en a lui ne réussirais jamais a engendré descendance suite a un accident. Bien malgré lui. Les hommes prirent le chemin d’une longue campagne contre les ennemis de l’empereur peu de temps après l’arrivé de spurius, laissant ainsi la mère élevé le petit seul.
A son réveil, Kesh ouvrit les yeux, une grande douleur lui parcouru le crane. Mettant sa main pour tenté de dissimulé la lumière du soleil qui lui brulait les yeux. Avec  incompréhension  il constata du sang sur ces mains. Il vérifia d’instinct qu’il ne s’était pas blessé lors de sa beuverie de la vieille, il ne ressentait aucune blessure sur son corps. Lors de son examinassions il  ne constata aucun entaille. Cette quantité de sang ne pouvait résulter d’une simple entaille ou bien d’une blessure légère. Il descendit son regard sur son torse et le bas de son corps pour constater qu’il en était recouvert. Les sens au aguets, il se força pour ouvrir ces yeux, il constata avec effroi que les 2 autres soldats avec qui il partageait sa tante étaient tout autant recouverts de sang. Il mit la main sur la jambe de son voisin de paillasse en le remua pour le réveiller, mais ce dernier ne bougea pas. Son crane le fessait énormément souffrir, mais il chassa du mieux qu’il pouvait sa douleur pour ce concentré sur le corps du soldat, il constata alors une dépouille mutilé. Il remarqua que ce dernier avait été poignardé à de multiple reprise au niveau du torse, puis d’une profonde entaille d’un coté a l’autre de la gorge. Il mit son attention sur une dague planté sur le torse à l’ endroit du cœur. Kesh aperçu avec effroi que la dague était sienne. Il n’eu le temps d’inspecté le corps du 2 e  soldat qu’il entendit des bruits de pas approchant de sa tante. Sans aucune invitation 2 soldats pénétrèrent dans la tante. Les soldats ne portèrent aucune attention aux soldats mutilés. Ils déposèrent leurs regards sur Kesh qui semblait perdu, il ne comprenait toujours pas ce qui c’était passé. Ce fut les soldats qui brisa le silence en demandant  a Kesh de lâché son arme et de se rendre sans opposé de résistance. Ce qu’il fit sans réfléchir encore sous le choc de voir ces amis sans vie.
Amener à l’extérieur du chapiteau, 2 centurions l’attendaient, fers aux mains il fut arrêter sans procès, bâillonné par la suite et cagoulé. Pendant un long moment, il fut transporté dans un chariot avec bien peu de commodité. Lors de leur moment de pause, afin que soldat et bête puissent ce reposé et manger, Kesh n’avait quand t’a lui droit qu’a des aliments corrompu et avarié, même un rat n’aurait voulu. Avec tout ce chemin, il perdit tout sens de l’orientation, ne sachant plus ou il se rendait. Après 2 nuits à dormir au froid et à la pluie, ainsi que 2 journées de transport, la charrette cessa enfin de roulé. Kesh était grandement affaiblie et affamé. Ils le firent descendre de la charrette et le sol se résorba sous ces pieds.  Un garde enleva la cagoule de Kesh. Devant lui ce dressais un Nargholith grand et chétif.
 
-Kesh : Que ce passe t-il? Pourquoi suis-je ici? Je veux voir le sergent!


Il croyait avoir affaire à des soldats de l’armé impérial.
Puis du revers de la main le Nargholith lui asséna un violent coup au menton, la mâchoire de ce dernier ce brisa. Malgré sa forme chétif, le Nargholith avait frappé durement l’imposant soldat qui s’écroula sur le coté.

Nargholith : Qui crois-tu que nous sommes? Pour qui te prends-tu? Petit Hastane répugnant.


Puis le Nargholith cracha à ces pieds.
Kesh ébranlé se releva et cracha au sol. Une longue coulisse de sang se forma sur son menton et son gambison. Après avoir légèrement repris ces esprits,  quelque morceau blanc était au sol avec le sang qui coulais, ces dents c’était certes délogé lors du violant coup asséné. Il en avait vue d’autre aux cours des années avec la guerre, la douleur était indéniable et il souffrait.  Il tenta de caché sa douleur aux yeux des autres puis Kesh tenta de parler mais sa mâchoire lui fit défaut.

L’officier ordonna aux gardes d’emmener Kesh dans la prison. Prison si nous pouvons appeler sa ainsi… Un trou creusé dans la terre mouillé entouré d’une palissade de bois tel un enclos à cochon.  Un terrain bien glissant pour qui empêchais toute fuite. La prison était soumise aux intempéries. Kesh y passa la journée entière, le temps était froid et il mouillait depuis 2 jours. Il était frigorifier d’autant plus que le vent ce mettais de la partie. Autant son corps que son esprit commençait à être en piteuse état. La nuit tomba et Kesh s’endormis. Il fut tiré au milieu de son sommeil par 2 hommes qui vinrent le cherché avant de l’amener a l’intérieur de la ferme. Le groupe passa par le coté de la ferme puis pénétra par une porte qui adonnais au sous sol de l’endroit. Seul quelque chandelier brisait l’obscurité de l’endroit. Arrivé au bout du corridor, il porte en bois était entrouverte. Le premier Hastane donna un coup de pied à fin de l’ouvrir au complet. Avec fracas la porte frappa le mur et celui qui précédait Kesh le bouscula à l’intérieur avant de l’attaché au seul mobilier de la pièce, une petite chaise de bois. Seule une torche au mur comme éclairage. L’endroit s’entais vraiment mauvais, le sol était humide et froid. L’odeur rappelait la mort d’un champ de bataille.

15 ans plus tard. Citria


Spurius ce réveilla de sa nuit cauchemardesque, dans la villa de son père adoptif Lucius. Elle était très nombreuse ces derniers temps, à vrai dire, à chaque année à l’approches de cette journée. Cela fessait maintenant 10 ans que son père les avaient déshonorés lui et sa mère. 10 ans que Kesh avait tué les soldats impériaux. Spurius avait accepté le fais que Lucius les aient prit sous son aile. Il n’avait seulement que 5 ans lorsque Lucius était revenu de la guerre. Il avait retrouvé sa mère et lui avait expliqué ce qui était arrivé, ou du moins les histoires qui étaient véhiculé. Il leur proposa son aide et fut très généreux avec eux. Il leur avait donné protection et avec le temps sa mère avait fini par l’épouser. Githalia avant l’arrivé de Lucius arrivais de peine et de misère à subvenir au besoin de la famille. Ils avaient déménagé dans la basse ville ou le loyer était bien moins cher.  Lucius était autant anéantie que Githalia du meurtre sordide que Kesh avait fait plusieurs années plus tôt. Peu à peu il avait gravit les échelons de l’armée avant d’être rappeler à Citria à la demande de l’empereur.   Lucius avec tout sa prestance avait réussis a s’attiré les bonnes grâces du sénat et de l’empereur. Peu à peu il avait gravis les échelons du sénat et un jour, l’empereur le gratifia lors d’une réunion spécial, des plus hauts honneurs qu’il lui était possible. Un titre de noblesse ainsi que des terres. Lucius était un vrai visionnaire. Il avait su faire fructifier ces avoirs et avec son éloquence et son baratin, il savait convaincre n’importe qui sur n’importe quoi s’attirant ainsi plusieurs contrats lucratifs impérial.
Spurius quitta sa chambre et ce rendit à la salle a mangé, sa mère l’attendait. Githalia et lui prit le déjeuner ensemble. Tous 2 avaient le moral bas en cette journée. Car malgré ce que Kesh avait fait, il restait son amour de jeunesse ainsi que le père de Spurius. Après le déjeuner, sa mère lui laissa savoir que Lucius requérait un entretient. Spurius travaillais depuis un bon moment déjà pour Lucius, il lui apprenait a dirigé la colossale entreprise de production qu’il avait mit en place. Les actifs étaient bien diversifiés, c’était un vrai empire que l’Hastane avait érigé avec les années, allant des fermes qui produisait le blé pour l’armé à la forge en passant par des bateaux de commerce ainsi que des auberges. Il avait appris beaucoup sur le fonctionnement des finances et de la gestion de l’organisation de son beau père. Spurius ce rendit alors dans son bureau de la villa et inspecta les papiers qui requéraient son attention. Après plusieurs heure de concentration et de négociation avec des marchands, l’homme de 20 ans ce leva et se dirigea au balcon. Le vent était bon et frais, les rayons du soleil vint se posé sur Spurius qui le réchauffa. Le temps commençais à changer, la saison des pluies se terminais pour laissé place à l’hiver. Il s’adossa sur l’imposante colonne en regardant au loin. Il se remémorait encore une fois ces rêvent cauchemardesque. Il en avait mainte fois parlé a son beau père et sa mère lors de son adolescence mais a chaque fois, Lucius ce fessait réconfortant et rassurant lui disant que ce n’était que de mauvais rêvent. Spurius n’y croyait pas trop, les rêves étaient beaucoup trop précis. Il pouvait sentir et ressentir l’ambiance et l’air de la pièce ou cela se déroulais. Il voyait un homme attaché et mutilé sur une chaise de bois au centre d’une pièce sombre et humide, on pouvait sentir la mort ainsi qu’une étrange sensation.
La journée passa puis vint le moment de la rencontre. Le soleil avait commencé à disparaitre derrière les montagnes de Citria. Un serviteur alla quérir Spurius dans son bureau lui laissant savoir que Lucius l’attendais. Spurius remit alors un peu d’ordre dans les papiers et congédia messager et secrétaire. Les 2 hommes se mirent en route vers le bureau privé du noble. La villa était richement décorée, de grand tableau au cadrage en or, des statuettes à l’effigie de Lucius ainsi qu’en l’honneur de l’empereur.  Certain voyait la décadence d’un empire et de son richissime propriétaire, mais Spurius ne voyait aucunement l’intérêt à étalé ainsi toute la richesse de sa famille. Peut être son mentor voulait ainsi créer une certaine jalousie de la part des autres nobles et de montré sa supériorité. Les hommes marchèrent 5 minutes au travers le manoir. Au bout du corridor en marbre, ce trouva le bureau de son beau père. Une grande porte massive ce dressa devant eu, le valet cogna puis attendis d’avoir une réponse avant de poussé la porte. Ils n’eurent pas  à attendre très longtemps avant d’entendre la réponse. Aussitôt les 2 personnes entré, le serviteur ferma derrière eux et se retira dans un coin près de la porte. Spurius s’avança en direction du bureau puis s’assis devant Lucius.

Lucius: Il y a de sa déjà un bon moment que je tiens à te parler de ce qui s’en vient pour notre famille. Tu n’es peu être pas mon fils de sang, mais je t’ai toujours élevé comme tel. Il est temps pour toi maintenant de devenir plus qu’un simple petit administrateur de mon organisation.

Spurius écoutais sans trop savoir ou son mentor s’en allais avec cela. Lucius l’invita à se lever et le suivre jusqu’à une bibliothèque derrière lui. Elle était en chêne massif et remplie à rebord de livre ésotérique. Lucius marmonna quelques paroles puis les étagères recula d’un mètre et un couloir apparu devant les 2 Hastanes. Ils pénétrèrent dans le couloir de pierre. Spurius ressentis quelque chose a l’intérieur de lui, un genre de malaise. Arrivé au bout se présenta une salle pavé de pierre avec un autel ainsi table sacrificiel.

Spurius: Mais! Qu’est-ce que ceci père?
Lucius: C’est la raison de ta venue ici.
Spurius : que voulez vous dire? Sur ces gardes, ce dernier pensait qu’il serait la personne sacrifié.
Lucius: ne t’en fais pas… je ne te veux aucun mal, seulement que tu perpétue ce que j’ai commencé s’il venait qu’a m’arrivé malheur.
Spurius: Expliquer vous, je ne vois pas très bien ce dont vous voulez parler.
Lucius: regarde autour de toi, que vois-tu?


Spurius examina alors les lieux. Puis remarqua plusieurs manuscrits, de très ancien puis de plus récent. Des bijoux, des armes accrochées sur des supports en bois, des armures d’os. C’est alors qu’il se souvient de certaine éducation qu’il avait reçu étant plus jeune. Puis remarqua un livre avec une tête de mort dessus. Tout ceci devait être des items de nécromancien.

Spurius: Vous voulez dire que …
Lucius lui coupa alors la parole sèchement, sachant ce que Spurius était pour dire.
Lucius: Effectivement je suis un nécromancien. Cela fait longtemps que je te connais, tu n’étais encore qu’un bambin que je sentais déjà la magie en toi. Tu a beaucoup de potentiel surement bien plus que moi. Tu a presque tout appris de ma… notre exploitation légal. Tu connais bien peu de ce qui se passe derrière tout cela. Un jour tu ma juré fidélité et loyauté, aujourd’hui je te redemande le même serment mais pas comme un fils, ni un contremaitre… Mais comme mon apprentie. Devient un de mes disciples. J’ai besoin de toi, de ton support, de ton potentiel pour ainsi régné sur Citria et sur la terre de terra. Avec toi a nos coté nous ferons abdiquer toute résistance et enfin personne ne dictera plus au nécromancien comment agir.


Spurius était légèrement ébranlé de ce qu’il venait d’apprendre sur son mentor, toutefois, Lucius avait toujours été juste avec lui, il l’avait toujours protégé et bien guidé dans la vie. Est-ce qu’il détenait vraiment le pouvoir de la nécromancie en lui? Intrigué par cette possibilité il interrompit ses pensées et posa les genoux au sol. Je vous fais le serment père de vous servir.

Lucius: excellent.

Puis il claqua des mains et la porte derrière lui s’ouvrit. 4 hommes pénètrent dont 1 bâillonné.
Les geôliers le poussa par terre avant d’enlever le sac qu’il avait par-dessus la tète. Spurius le reconnu aisément, c’était un patricien de Citria qui ne se gênait pas pour rabaissé Lucius a tout les fois qu’il lui était possible de le faire. Il était aussi propriétaire d’un vieux domaine prisé par Lucius qui lui avait toujours refusé de le vendre. Cela avait fait beaucoup d’animosité entre les 2 hommes. Spurius ce releva alors avant de reculé d’un pas. Puis le plus grand des gardes retira le bâillon de l’Hastane

Lucius: Alors Siurtric c’est ainsi que tu te présente a moi! Alors va tu accepté de me cédé tes terres?
Siurtric : si tu crois me faire changer d’avis en utilisant la force tu te trompe...
Lucius: Je n’en espérais pas moins.


Lucius se dirigea alors vers la table de sacrifice puis saisie une dague noir. Il se dirigea vers Spurius qui regardait la scène silencieusement. Une fois rendu a la même hauteur que lui il tendit l’arme a son fils et lui dit a l’oreille.
Lucius: Devient ce qui ta toujours été destiné.

Spurius le regarda avec incrédulité, puis déposa son regard sur le patricien légèrement affolé. Spurius n’était pas un guerrier, mais dès son plus jeune âge on lui avait montré a tenir une arme et ce défendre. Siurtric tenta de reculé mais il se heurta aux jambes d’un des soldats. Spurius avança lui aussi vers sa victime, il hésita un instant puis il perdait le contrôle de son corps. Sa haine et sa fureur se déferla dans ces membres, il frappa d’un coup tranchant vif et ferme au niveau du coup, un instant plus tard, la tête ce décrocha du reste du corps et roula au sol. L’instant d’après le corps suivie et laissa une marre de sang. Lucius approcha de Spurius.
Lucius: le ressens tu ? Ressent tu la peur qu’il la habité en te voyant t’approcher? Ressens-tu l’énergie que dégage sa mort? Je vais t’apprendre à t’en servir et a puisé en elle pour devenir plus fort.
Lucius fit alors signe a son nouvelle apprentie de se mettre a genoux. Puis avec le sang du mort, il fit un signe sur la tête de Spurius. Pendant tout la nuit, les disciples du maitre fit une messe des ténèbres à fin d’accueillir leur nouvelle aspirant.

Dès le lendemain  soir son Maitre le fit chercher et Spurius commença secrètement sa formation de nécromancien. Dans cette cité nulle ne devais connaitre leur réelle identité. Il devrait alors continué à gérer les activités légales de Lucius que d’apprendre maintenant l’art noir. Il devrait préserver son anonymat.
Les soirs venu, Spurius s’entrainait ardemment a la magie noire. Emmagasinant tout les savoirs de son maitre. Lorsque le temps le permettait, il prenait aussi avantage de tous les manuscrits et parchemins de la bibliothèque secrète emménagé dans les sous sol du noble.  Plus le temps passait, plus la magie de Spurius devenait puissante en lui. Il apprenait rapidement dépassant même les autres adeptes de la nécromancie de L’ordre. La majorité des nécromanciens de l’ordre ne ce souciais pas des enseignements ancien, prétextant que la nécromancie avait évolué avec les années et était rendue aujourd’hui supérieur. Les maitres avaient la même pensé .Il en venait même à ce demandé si la façon dont son beau père menait son ordre de nécromancien était vraiment la bonne façon. Car tous les maitres étaient selon lui égaux. Toutefois Spurius était alors seulement une apprentie, qu’elle poids aurait t-il pour faire changer les choses?

Les années passèrent

Il y avait 5 ans maintenant que Spurius avait commencé au sein de l’ordre secret de son beau père. Il n’était plus le petit apprenti qu’il avait été auparavant. Il pouvait maintenant passer de long moment a lancé des sorts sans devoir se reposer. Il n’avait pas encore reçu le titre et l’honneur qui vient avec de Maitre nécromancien. Lucius toutefois lui avait apprit tout de l’organisation, des plans et des possessions de l’ordre secret. Selon Spurius, cela n’était qu’une question de semaine avant que son beau père lui fassent passé le teste final.
Quand cela lui était possible Spurius partait a la recherche de rune et d’artefact néoromantique, autant pour son apprentissage, sa collection personnel que pour le compte de l’ordre.
L’Hastane n’avait toujours pas cessé de faire ces cauchemars, toutefois il ne le terrorisait plus désormais. Il lui arrivait parfois d’en voir plus, essayant a chaque fois d’arrivé jusqu’à la fin de  son rêve. Mais à tout coup,  Il se réveillait avant de voir le visage de l’homme qui pénétrait la salle. Il en avait reparlé a plusieurs reprise au plus ancien nécromancien ainsi qu’a son maitre. Toutefois chacun d’eux refusait de l’aidé, prétextant que les visions si en n’était-il une, ne pourrais que l’affaiblir et lui disait de la laissé derrière lui. Spurius ne pouvait s’y résoudre. Il pensait plutôt que cela pourrait l’aidé à faire tournée son futur si, c’était lui sur la chaise.
Un soir, Spurius passa devant la salle du conseil noir et entendis de petit éco derrière la porte qui était mal fermé, il s’en approcha discrètement pour entendre ce qui ce disait. Il entendit son nom ce qui attira encore plus son attention. Un des conseillers près du maitre suggéra que Spurius passe à l’étape suivante.  Il était maintenant venu le temps de franchir le teste décisif qui ferait de lui un maitre nécromancien a part entière et ainsi prendre part a la table des conseillers noires un des plus hauts rangs de l’ordre.
Alors qu’il était en pleine méditation dans sa chambre, il entendit quelqu’un cogné a la porte de la chambre. Il l’invita a rentré, un messager de la part de Lucius lui intima de ce rendre promptement a son bureau.
Rendu au bureau, le messager cogna à la porte puis pris une pause en attendant la confirmation qu’il pouvait pénétrer. Après le message, les 2 hommes pénétrèrent et l’homme disparu dans un coin sombre de la pièce.  Le maitre fit signe a son apprenti de le suivre jusqu’à dans la salle du conseil. C’est alors qu’il remarqua que les 3 Maitres de l’ordre l’attendaient.
Lucius: Apprentie tu es arrivé ici il y a 5 ans, durant toutes ces années tu nous as bien servis et tu a toujours été dévoué, tu es sans doute devenue le plus fort d’entre tous. La magie est forte en tes veines. Il est maintenant temps pour toi de devenir l’un des nôtres a part entière. Il est maintenant temps pour toi de devenir un maitre.

Spurius: Merci maitre

Spurius déposa un genou par terre en signe de soumission attendant la suite. Tous fixèrent son regard sur lui. Puis Lucius s’avança.

Lucius: Tu te présente devant nous aujourd’hui avec le nom de Spurius, lorsque tu reviendras, tu auras laissé derrière toi ton ancienne vie. Tu la conserveras toutefois simplement comme couverture. Toutefois tu continueras sur le même chemin que tu fais depuis 5 ans, c’est ta dire servir uniquement l’ordre.
Spurius en se relevant dit : Je me nommerai Zdravo.
Lucius: Alors va Zdravo mon enfant, Maitre Mostria te montrera ce que tu dois faire.
Zdravo : oui maitre!


Les 2 Hastanes partirent dans la pénombre. Chevauchant toute la journée complète et ne se reposant que la nuit venue. Ils arrêtèrent dans un petit village et se dirigea a l’auberge pour ce restauré et ce reposé. Après avoir terminé leurs plats, Zdravo monta dans la chambre tandis que Mostria resta en bas et partie jouer aux dés. Zdravo ce mit alors sur son lit et médita, Il avait appris a ce reposer et se restauré de cette manière. Il lui était possible de remplacé le sommeil par la méditation grâce au apprentissage des manuscrit qu’il avait trouvé dans le tombeau du ancien nécromancien.
Le lendemain matin Zdravo ce leva de son lit avant Mostria, puis il le tira de son sommeil.

Zdravo : Allons si, nous avons été bien assez longtemps en ce lieu.

Les 2 hommes reprirent la route. Vers l’heure du diner ils arrivèrent à un petit chemin boisé. Avancèrent tranquillement ils s’y engouffrèrent. Zdravo était dans sa tête ne sachant pas encore à quoi il devrait faire face, la seule chose qu’il lui avait été dit c’était qu’il devrait pénétrer un tombeau contenant une arme magique qui servirait à leur quête de conquérir le trône de Citria. C’est alors que Zdravo ressentie ces trippes se serrer, Il tira alors les reines de son cheval par reflexe et un tronc d’arbre s’abattit à l’ endroit exacte ou il aurait du ce trouvé. Ces sens était en alerte et il regardait tout autour de lui a fin de trouvé les sources de danger.

Mostria : Une embuscade!!!!

Zdravo sauta alors de son cheval et summona son familier favori. Un Serpent vénéneux. Au même moment, 4 hommes surgis des ombres pour l’attaquer. Zdravo projeta un rocher sur le premier qui l’évita, toutefois la promiscuité entre les 2 hommes gêna le déplacement du second qui se prit la pierre en pleine tête. Un jet de sang jaillie de chaque coté de la pierre et l’homme s’effondra. Zdravo fit en pas en arrière et examina la situation.  Il porta son attention sur les 2 prochaines cibles. Il projeta ensuite une boule d’énergie sur ces prochains attaquants. Tout 2 sautèrent de leur coté évitant ainsi d’être renversé. Lorsque ces derniers ce relevèrent, ils furent surprit de ne plus voir le nécromancien devant eux. Zdravo en avait profité pour ce téléporter  et ce dissimulé sur une branche assez solide pour lui. Il en profita pour analyser ce qui se déroulait.
Maitre Mostria avait disparut, ainsi que le 4e individu un Nargholith, Zdravo trouva cela très étrange que le Maitre se sois dérobé ainsi du combat. Toutefois il n’y avait pas de temps au doute et au raisonnement, il devait ce débarrassé de ses ennemis avant tout. Communiquant avec son serpent par la pensé, qui c’était caché au sol dans les feuilles, Zdravo prépara sa prochaine action. Son serpent bondi sur la cible la plus proche. Ce qui déconcentra le 2e. Zdravo s’élança alors juste derrière ce dernier et l’embrocha jusqu'au garde de son épée. Lorsqu’il le repoussa il remarqua alors que ton serpent n’avait fait qu’une bouché de sa victime.
Zdravo avait rapidement fouillé les corps, une information le tracassa. Les visages des morts lui chatouillaient l’esprit. Très rapidement les casses tête ce mit en place, ces hommes étaient a l’auberge ou il avait passé la nuit hier. Il entendit une branche se brisé derrière lui, il se retourna et constata que le Nargholith se tenait debout et le fixa. Les sens au aguets et le sang bouillant a l’intérieur de lui, aussi rapidement son attention porter sur son opposant qu’il lança une boulle d’énergie. Le Nargholith leva alors un bouclier d’énergie sur lui et la fit dévier. Puis son assaillant s’interrompit et mit un genou au sol.

Nargholith : cesser!! Je me rends… Je vous est vue disposé rapidement de mes hommes ainsi que le pouvoir que vous possédé!!
Zdravo : Qui est tu? Qu’est-ce que vous nous voulez? Ou est Maitre Mostria?
Nargholith : Je suis Valtazath, Nous avons été engagés par l’Hastane qui était avec vous!  Il c’est présenté a nous étant Kartoum un marchand. Il nous a donné une forte somme pour que nous nous débarrassions de vous! Toutefois je vois que la magie noire est forte en vous et j’ai une offre à vous faire. Devenez mon Maitre et je servirais au péril de ma vie.
Zdravo : comment puis-je avoir confiance en vous il y a un instant vous avez tenté de me tué.
Valtazath : Je fais le serment de sang, sous ma vie de vous servir. Votre Maitre Mostria est toujours en vie. Il est dans la clairière. Je l’ai assommé et bâillonné. Vous trouverai assurément vos réponses.
Zdravo : Cette conversation n’est pas terminée.

Zdravo ne fessait pas confiance en Valtazath toutefois pour l’instant il garderait un œil sur lui.
Arrivé devant son ancien maitre Zdravo le réveilla en lui assénant un coup de pied. Mostria ouvrit les yeux sa chevelure blanche cacha son visage ensanglanté.  Zdravo se pencha alors devant lui et lui enleva son bâillon. Valtazath resta en retrait fixant de son regard perçant l’Hastane au sol. Mostria se mit à genoux visiblement affaiblie. Zdravo tentant de lire en lui, mais ne constata seulement un état de paix.

Mostria : Je suis rendu vieux *toux ensanglanté* Trop vieux pour tout cela. Promet moi une mort rapide et je te dirai tout ce que tu veux… De toute façon je sais déjà comment tout cela terminera.
Zdravo : C’est Lucius c’est bien sa? Qu’a-t-il a gagné avec tout cela? Pourquoi maintenant?
Mostria : Il n’a rien a gagné, toutefois il a tout a perdre a ton retour. Tu es devenue bien plus fort que nous tous, même les Maitres on commencé à te craindre. Les Maitres n’ont pas la même vision de la nécromancie que toi non plus. Voila pourquoi nous avons voté pour ton élimination.
Zdravo : Ma vision est celle de nécromancien fort et non dilué, vous avez tourné le dos aux anciens enseignements, il s’est lui-même détourné de l’essence primordiale de la nécromancie!  Vous avez trahi la voie des nécromanciens! Une purge s’impose afin de faire renaitre la véritable force et véritable et de tourné le dos au désir de certain égocentrisme.  Pourquoi m’avoir attiré aussi loin? Et de ne pas avoir fais cela au domaine?
Mostria : tu te souviens de tes « cauchemars »? Ceci est bien plus que de simple rêvent que tu fais. Tu a des visions du passé et je suis certain que tu a des visions de l’avenir. Nous avions convenue que tu serais laissé dans la même grotte que ton père. Il y a dans la caverne un globe de puissance contenant l’énergie sombre des morts. Maintenant Laisse moi mourir, continue ton chemin jusqu'à la grotte et tu comprendras.

Mostria baissa la tête et tomba en transe. Zdravo ce tenais devant le traitre sans émotion et se tourna vers Valtazath. Il lui fit signe, comme il l’avait reçu il y a 5 ans dans le sous sol caverneux du complexe. Il lui tendit la dague et nu besoin de faire aucune façon que Valtazath avais compris ce qu’il devait faire. Tel qui lui avait été promis, Mostria eu une mort rapide. La dague avait fendu la gorge, d’un coup net sectionnant les 2 carotides. Son corps gigota au sol avant de stopper net dans une marre de sang. Zdravo sentit l’âme de ce dernier crier en sombrant dans le néant. La raison qui avait poussé Zdravo à prendre Valtazath comme apprentie n’était nul autre qu’il avait besoin de lui pour attaquer son ancien ordre. Il ce devait de faire tomber son ancien maitre pour avoir tenté de le tuer. Mais pas seulement pour cette raison. Zdravo avait une vision bien différente de celle de Lucius. Selon Zdravo l’ordre c’était égaré dans la luxure, il avait oublié sa raison fondamentale, celle de s’élever au dessus des êtres faibles et non de ce voir tous en égales.  L’était le problème pour lui dans cet ordre. Le rang de maitre fessait en sorte que tous était ainsi, même Lucius en quelque sorte.
Après une courte méditation régénérative, le duo ce mit en route vers l’endroit qui avait été désigné par Mostria. Malgré les indications du défunt, quelque chose attirait Zdravo à ce lieu. Plus il approchait plus il ressentait une force l’attiré. Une force sombre vivait en ce lieu, cela méritais d’y jeter un œil attentif. Mais en quoi cela pouvait-il bien avoir rapport à son père? Ce lâche qui avait tué de ces soldats. Zdravo ne l’avait pas vraiment connu. Il était partie la guerre peu de temps après sa naissance, tel était souvent le cas pour un Hastane.
Il demanda à Valtazath de l’attendre à l’extérieur et Zdravo puis s’engouffrât dans la noirceur de l’endroit.
Après une très courte recherche, il arriva devant un globe de pierre. Il étendit les bras et pressa fermement sa main sur la surface. Un feu glacé brula sa main, mais il ne remarqua pas la douleur tellement il tait absorbé par les voies émanant de l’objet. Sous sa peau, les volutes d’ombres s’unirent en une masse unique. Les pensées des êtres enfermés à l’intérieur du globe, se précipitèrent à sa rencontre, sous la forme de murmures qui touchèrent le tréfonds de son esprit. Des mots incompréhensibles de haines et de désespoirs. D’instinct Zdravo eu envie de retiré sa main, il lutta et chassa l’envie d’enlever sa main. Puis ce concentra et projeta en avant son esprit jusqu’aux profondeurs des noyaux ténébreux du globe. Les chuchotements haineux explosèrent en hurlements tourmenté. Seul subsistaient des fragments des esprits incapables d’interagir avec les éléments qui les entouraient. Puis un couloir ce forma dans le flow de pensé. Un grand Hastane ce tenait au centre ce libérant de la noirceur. Son fort intérieur le connaissait sans que toutefois il ne reconnue le visage. Il lui était particulièrement familier. Il était indéniablement attiré vers cet homme qui lui tendait la main devant lui. Zdravo tenta de  rentré en contact avec lui, toutefois sa voix ne fessait qu’éco dans se monde de ténèbres. Arrivé au niveau du géant, ce dernier posa ses mains sur le front de Zdravo et un lien psychique ce créa entre les 2. Un afflue d’information et d’image firent leurs apparitions dans l’esprit de Zdravo. Il comprit alors que ce Hastane était son père.
Zdravo était debout sans bouger dans le coin d’une pièce. Avec fracas la porte s’ouvra et frappa le mur 3 hommes pénètrent dans la pièce. Le premier pénétra, suivie d’un grand prisonnier et le 3e le bouscula à l’intérieur avant de l’attaché au seul mobilier de la pièce, une petite chaise de bois. Seule une torche au mur comme éclairage. L’endroit s’entais vraiment mauvais, le sol était humide et froid. L’odeur rappelait la mort d’un champ de bataille. Zdravo était un témoin des souvenir de son père et surement son dernier. Un lien c’était créer et Zdravo ressentais les émotions de son père.
Kesh ignorait toujours ce qu’il fessait la… il ne comprenait toujours pas la situation. Puis la porte devant lui s’ouvrit laissant pénétrer un Hastane. Son visage était caché dans la noirceur de pièce. Puis la porte se referma alors aussitôt derrière lui. Avec stupéfaction Zdravo remarqua que l’homme qui venait de rentré était nul autre que Lucius. Son ancien mentor  se mit devant Kesh portant son regard sur la mâchoire de l’Hastane il la prit dans sa main avant de l’agité. Une vive douleur parcouru tout le corps de Kesh qui se débâtie sur la chaise.

Kesh : Lucius mon frère, que fait tu? Pourquoi? Nous avons toujours été ensemble…
Kesh était bouleversé et ne comprenais toujours pas ce qui se passait.
- Lucius: Tu m’a fais de l’ombre trop longtemps Kesh, mais ce temps est terminé. Tu n’es plus rien maintenant… Le tribun militaire est en route pour rencontrer et condamné le soldat qui avait tué les siens quelques jours auparavant.
-Kesh : mouai gee gnai riiien….

Sa mâchoire brisée l’empêchait d’être clair lorsqu’il parlait… Mais avant même de finir sa phrase, Lucius lui assena un coup pied dans les flancs, Brisant 2 cotes au passage. Kesh se tortilla de douleur.

- Lucius: Tu n’a toujours pas compris… je me suis enfin débarrassé de toi… Et grâce à toi… j’en finirai avec cette Légion de malheur! Basé sur de fausses valeurs et croyance.  Je serai bientôt Patricien ou même peut être Noble! Une pierre 2 coups. Qu’elle récompense crois tu que je recevrai en livrant ton cadavre? Pourquoi crois-tu que je suis allé vous voir au camp après la bataille? Crois tu vraiment que les soldats qui sont avec moi son de la légion, Nous sommes tous Nécromancien.  Vous avez été drogué cette nuit la au camp… Vous êtes si pitoyable et faible… Il y a quelque temps que je me suis tourné vers la nécromancie qui mon ouvert les yeux à la vrai puissance.

Lucius se tourna vers une petite tablette au mur et ouvrit un sac. A l’intérieur ce trouvait plusieurs outils de torture. Il saisit une lame très fine s’avança vers Kesh et la fit pénétrer dans la peau. Il la découpa. Kesh cria de douleur et Lucius semblait ce délecté et se nourrir de la souffrance de son père.
Une pause se fit alors dans l’esprit de Zdravo revenant a lui-même dans le monde des mortels, Affaiblie mentalement par l’épreuve qu’il venait de vivre. Il se concentra et replongea son esprit dans le globe.
Le corps meurtris et frigorifié Kesh ce trouvais au sol regardant son assaillant. Le soldat était recouvert de sang,
Difficile imaginé tout ce que ce soldat  avait subis cette nuit la. Il avait une forte consistance ce qui l’avait sauvé jusqu'à présent. Mais Kesh commençais à sentir les ténèbres s’approché de lui.
Kesh tenta de se relever mais retomba aussitôt trop faible pour se retenir. Sans compté tout les blessures qui lui avait été infligé : ces cotes lui fessait un mal de chien, la mâchoire brisé ainsi que sa dentition, la peau qui lui avait été retiré ainsi que les ongles. Il c’était accroché à l’image de son fils et sa femme pendant tous le temps de sa torture.
Kesh bouillonnais de l’intérieur incapable de pouvoir ce défendre et de reprendre possession de son corps et de ces membres.

- Lucius: Dommage que cette histoire aille déshonorer ta famille… Mais ne t’en fais pas… Je m’occuperai bien d’eux. Je vais bien m’occupé de ta femme, de cette beauté… Tu as toujours représenté tout ce que je désirais.


Kesh ce débâtit, Lucius savait qu’il avait touché une corde sensible. Kesh était si fier de sa famille et de son fils Spurius. Lucius se pencha alors par-dessus Kesh avant d’enfoncer sa dague sous son menton. Son corps s’agita avant d’arrêter de trembler, sa vie venait de terminé âpres une longue nuit d’agonie.  
Rapidement Zdravo sortit de la vision encore plus faible. Un rideau commença a ce formé devant les yeux de l’Hastane puis le voile s’obscurcie encore plus et il perdit connaissance.

Zdravo ouvra les yeux, il reprit conscience près d’un feu de camp. Il constata que Valtazath était de l’autre coté à genou en train de méditer. Zdravo ce redressa, une odeur de viande au feu lui chatouillais l’estomac. Valtazath interrompit sa méditation et porta son attention sur son Maitre. Après une brève discutions Valtazath lui expliqua ce qui était arrivé. Il était entré dans la grotte constatant que son Maitre ne ressortait pas. Il passa 2 jours dans son état d’inconscience. Zdravo lui expliqua tout, autant l’histoire de sa famille que la vengeance qu’il préparait en vue de l’affrontement de son ancien Maitre. Zdravo avertie alors son apprentie qu’il comprendrait s’il préférait l’abandonné étant donné qu’une morte était plus que possible. Toutefois Valtazath déclina son offre en lui rappelant qu’il lui avait fait un serment et qu’il désirait avant tout le servir et apprendre la nécromancie.
Le lendemain matin, Zdravo fit parvenir une missive à Lucius. Lui intimant de venir le rejoindre que les 2 Hastanes avait a réglé leurs compte ensemble. Dans la lettre il lui indiqua un endroit où se rencontré ainsi que la mention de venir seul. Bien qu’il sache que Lucius n’oserait jamais le défier seul, Zdravo c’était préparé à cette éventualité. Le lieu du rendez-vous serait la grotte où nombre d’esprit avait été emprisonné dans la sphère ténébreuse qu’il avait découvert quelques jours auparavant. Pendant l’absence de son apprentie, Zdravo devait préparer l’arrivé de son ancien Maitre. Un petit village se trouvait en contrebas de la montagne, une population d’environ 15 habitants. Il attendrait le soir venu alors que la majorité des hommes se trouveraient à la petite auberge. Dans cette ville ce trouverait une source d’âme que Zdravo s’abreuverait, dans l’ignorance la plus total, aucun villageois ne pouvait ce douter que leurs sorts finiraient entre les mains sadique d’un nécromancien.
La nuit tomba sur le petit village, tel un voile maléfique. Zdravo laissa la magie pénétré en lui. Il ne fessait maintenant plus qu’un avec celle-ci. Il avait prié Derna la destructrice la journée durant, lui vouant son culte indéfectible. Il attendit patiemment que les femmes et enfants des maisons s’endorment, pendant que les hommes étaient à la taverne. Une a une, il fit le tour des maisons. Terrorisant et décapitant ses occupants. Se délectant des souffrances et de l’agonie de ces victimes. Zdravo avait appris a tiré le maximum des émotions de ces victimes et de s’en nourrir. Avec  le temps toutefois, s’en était rendu un besoin qu’il devait alimenter, il en avait créé une dépendance. Il ne gardait aucun remords de ces actes. Il avait lu d’un ancien magicien noire, » Les faibles seront toujours des victimes, le fort prend ce qu’il veut et le faible souffre de sa main, tel est leur destin, c’est inévitable. Seule le fort survit, parce que seul le fort le mérite ». Une fois la vie à l’intérieur des maisons prise, Zdravo se tourna maintenant vers l’auberge.
L’ambiance était festive à la Popina, les hommes du village s’y rendaient à tous les soirs. Certain jouais aux cartes, d’autre au Varak tous avaient une chose en commun l’alcool coulait a flow. Mais cette ambiance fut brisée en l’espace d’un instant. La porte d’entré fut pulvérisé, projetant des éclats de bois et de métal dans la pièce. Un homme qui passait devant fut projeté sur une table au fond de la salle. Son corps était tailladé par les éclats de shrapnel, ces bras et ces jambes étaient désarticulé du sens habituel sans compté les fractures des os qui sortait de la peau. Alors que tous reportaient leur attention à la porte d’entré, un Hastane de stature moyenne pénétra dans la pièce. Il portait une épaisse armure de cuir sombre, il trainait avec lui un épais brouillard au sol. À ce moment la température de l’endroit avait chuté, comme si toute cette énergie était absorbé par l’homme qui venait de pénétré. Les hommes étaient terrorisés et saisie par le nécromancien qui pénétrait dans l’auberge.  Leur peur fut soudainement décuplée alors qu’un loup noir pénétra tout juste derrière lui. Un mélange de sang et de mousse coulais de chaque coté de sa gueule. Les 2 bêtes avancèrent dans la salle sans dire un mot et les hommes de la place reculèrent. Personnes n’osaient parler, c’était bien l’atmosphère que le nécromancien voulait créer. Le moment d’angoisse ne s’arrêtait pas là, vinrent derrière eux le reste du village, à vrai dire, les cadavres inanimés de leur femme et enfants.
Presque arrivé a sa destination, Valtazath entendit au loin des cris d’agonies et de terreur. Il mit alors son cheval au galop et arriva a l’entré du village. Il y avait quelques chose d’inconfortable dans l’air, une odeur de souffre et un sentiment indescriptible. Sur ces gardes il prit le chemin a travers le petit village en se demandant s’il ne devait pas le contourné. Il arriva face à face avec son maitre qui sortait de l’auberge.

Valtazath : Que c’est-il passé ici.
Zdravo releva la tête : te voila enfin.
Valtazath : j’ai transmis la lettre que vous m’avez donné, Je vous annonce que votre maitre ne viendra pas seul, une garde de Citria viendra avec lui ainsi que votre ancienne ordre.
Zdravo : j’avais prévue le coup, ce n’est qu’un lâche.
Au même moment, derrière lui sortait de l’auberge sa petite armée de mort vivant. Tous prirent des directions différentes dans le village. Comme si Zdravo les guidaient avec ces pensées. Il leur prépara une petite embuscade à fin de déterminé les forces ennemies.
Zdravo : Venez à présent allons a la grotte prendre place. Ces créatures les mettront à l’épreuve en attendant l’affrontement final.


Le convoie pénétra le village aux petites heures du matin tel que prévue. Zdravo entendit alors l’escarmouche du haut de la falaise surplombant le village. Tout s’interrompit en quelques minutes à peine. Zdravo dit alors a son apprentie de prendre place derrière lui et de ne pas intervenir, c’était a lui de prouvé qu’il était plus fort que les autres. Tranquillement la garde impériale de Citria fit son apparition. Suivie de l’ordre de nécromancien et Lucius. Lucius lui intima de se rendre. Zdravo usa de ces pouvoirs et envoya un rocher en direction des assaillants. Lucius l’évita mais pas les 2 apprenties derrière lui. Lucius ordonna aux soldats impériaux et ses membres de foncer et de détruire Zdravo.
Zdravo en appela au pouvoir des morts qui c’était attaché à lui au moment de la fusion entre son esprit et celle de son père. Il s’en nourrissait maintenant pour densifier ses aptitudes nécromantiques tandis qu’il créait un champ mortel autour de son corps. Cela commença par un petit cercle qui se dilata pour finir  à un rayon de 10 mètres. Le Nécromancien en son centre, l’air à l’intérieur du cercle s’assombrit d’un coup. Comme si la lumière des torches était absorbée. Enveloppé de cette pénombre sinistre, Zdravo attendit simplement l’assaut ennemi. Les premières vague d’assaillant de l’ordre de Lucius déferlèrent sur lui, ce mirent alors a hurler de douleurs en entrant dans champs, Leur essence vitale était instantanément aspirées hors de leur être. Ils vieillirent de 100 ans en une fraction de seconde. Muscles et tendons s’atrophièrent en un éclair, leur peau se rida et se collèrent sur leur os. Ils se momifièrent et leur chair ce durcirent laissant que squelette et quelques mèches de cheveux. L’effort que nécessitais un tel sort, aurait épuisé rapidement n’importe qui même Zdravo. Toutefois il se nourrissait autant des morts qu’il avait déjà absorbé que des nouveaux qui pénétraient dans le cercle. Il ingérait l’essence vitale et  l’énergie de ces ennemis pour ce revitalisé. La masses d’adeptes de son ancien maitre continua d’arrivé. Les rangs intermédiaires tenta de désespérément de s’arrêter. Mais ceux derrières les poussaient vers l’avant. Prit dans ce mouvement, ils connurent la même fin atroce. Les derniers quand a eux, Prirent la fuite. L’armée d’adepte de son beau père était maintenant en déroute.

La cape noire de Zdravo battait au vent, il se trouvait aux milieux des cadavres. Il marchait en direction de son ancien maitre. Les nuages avaient commencé à remplir le ciel et il se mit à pleuvoir. Lucius n’était pas seul, Githalia se trouvais agenouillé devant lui, main attaché dans le dos. Les joues humides, elle ne comprenait rien de la situation. Lucius son mari des dernières années l’avait trainé jusqu’ici de force devant un homme à l’allure sombre. Son visage était caché par un masque d’os. Arrivé à une vingtaine de pieds Zdravo arrêta et retira son masque. Le visage de sa mère changea, un sentiment de terreur et de soulagement lui traversa en même temps.

Lucius: Arrête maintenant, Discutons, nous pouvons surement trouver un arrangement…
Zdravo : Je me fou de ce que tu as fait a mon père, tu dois mourir, tel dois être ton destin. Les faibles doivent mourir et une nouvelle organisation Nécromancienne doit renaitre de ces cendres. Trop longtemps tu as été détourné du but ultime : par la luxure,  ton image, ton titre…
Githalia : Ton père?? Kesh?? Mais ….
Zdravo : Explique-lui!!!

Lucius tenta de baratiné un instant puis, il finit par tout avoué.  Lui expliquant tout l’histoire. Lucius tenta de comprendre comment Zdravo avait apprit tout cela.

Lucius: Mais comment?
Zdravo : cela à bien peu d’importance ta vie se termine ici et tu auras le même destin que tes hommes et mon père.
Lucius: ne fait rien de stupide mon fils, sinon je …
Zdravo : tué ta mère?? Allez-si elle n’est plus rien pour moi… Tout comme mon père, s’il meurt c’est qu’ils sont trop faibles pour vivre… Spurius est mort maintenant complètement consumé par Zdravo.

Zdravo n'avait cure du chagrin que sa mère aurait en apprenant la vérité sur les actions de Lucius son seul but était de ce nourir de ces souffrances.
Zdravo laissa la magie pénétré ces veines, en un instant il envoya  un puissant éclair en pleine poitrine de sa mère. Lucius eu à peine le temps de passé et Githalia fut projeter 5 mètre plus loin. Morte sur le coup, sa chair avait brûle et des clocs avaient poussé sous la peau à la hauteur du thorax. Une odeur de brûlé ampli l’air. Lucius du se ressaisir vite car Zdravo lança maintenant un nouveau sort. Lucius leva un bouclier sur lui juste avant que Zdravo fasse exploser une poche d’air sur son flanc. Bien que le bouclier absorbe la majorité de l’explosion, il fut projeté plus loin. Lucius ce reçu durement au sol, Il se releva péniblement. Il implora a plusieurs reprise Zdravo d’arrêter mais ce dernier était déterminé à le supprimé. Mais en réalité il essaya de gagné du temps, Il était moins fort que son opposant, et surtout plus vieux. Le lien avec la magie avait commencé a s’estompé et surtout son corps était beaucoup moins résistant qu’avant. Mais son atout le plus précieux ce trouvais derrière Zdravo. Valtazath c’était tenu à l’ écart depuis le début. Depuis le début il c’était fait discrets. Attendant le moment propice pour bondir et tué Zdravo si le besoin ce fessait sentir. Alors que Valtazath avait remis la missive au noble, ce dernier lui avait promis une chose bien plus importante aux yeux de Valtazath que la puissance et les connaissances de son maître Zdravo. Valtazath était bien plus attiré par l’or et les femmes que la nécromancie. Bien qu’il la contrôle légèrement cela lui suffisait amplement. De plus Lucius lui avait promis de le former.
Lucius fit un signe presque indescriptible à Valtazath qui s’était préparé a frappé Zdravo dans le dos. Valtazath bondi et envoya un coup de poignard dans le dos de Zdravo. Alors que la dague pénétrait sa cible, cette dernière disparue. Le corps entier de Zdravo s’envola en poussière. Depuis le début il projetait une image de lui. Avait-il déjà vécue cette scène dans une vision? Pouvait-il voir le futur ou avait-il prévue la trahison de son apprentie? Valtazath constata alors tout l’étendue de son erreur lorsqu’il tourna son regard vers le haut de la bute, ou il se trouvait il y a un instant. Il tenta de parler et de bouger mais son corps refusa de fonctionné comme si il y avait une tonne de pierre sur lui.

Zdravo : ne bouge pas, tu seras le prochain.


Les corps des soldats derrières se transformèrent rapidement en poussière noire. Deux grands tentacules se déplacèrent au sol en direction de Lucius qui tenta de reculer. Une première attaque de tentacule fit basculer Lucius qui tomba au sol. Il se releva aussitôt pour tenté d’évité la 2e vague. Il constata rapidement qu’il ne pourrait l’évité et mit sa main devant lui pour arrêter l’attaque. Au contact de la tentacule, sa main se liquéfia instantanément. Il fut pris d’une douleur atroce. Comme si ont lui rentrait 1000 aiguilles dans la peau. Il passa proche de sombré dans son esprit et de perdre connaissance. Alors sur le dos, les yeux ouvert, fixant le ciel ennuagé, il vit Zdravo ce présenter par-dessus lui et s’agenouillé.

Zdravo : c’est maintenant que ton corps se sépare de ton âme, Cette dernière sera a moi pour toujours.

Zdravo plongea sa dague sous le menton de Lucius, Comme celui-ci avait fait à son père une vingtaine d’année plus tôt. Son corps ne frémit pas, c’était comme s’il avait accepté son funèbre sort. Valtazath avait assisté à toute la scène sans bouger. Zdravo se leva et avança vers lui. Alors qu’il devait regarder vers le corps de Lucius Zdravo passa en dehors de son champs de vision. Un instant après ces yeux fermèrent âpres un violent coup a la tête.
Valtazath ce réveilla péniblement avec des étourdissements. Il était attiré par l’odeur alléchante d’une bonne bouillie de bœuf. Son ventre le tiraillais tellement il avait faim. Il ouvrit enfin les yeux et mit quelques secondes à comprendre où il était. Puis finalement lui vint les derniers événements qui l’avaient conduit dans sa position actuelle. Il ce trouvais dans un environnement sombre, a voir les mouvements sous son ventre, il n’était pas au sol. Ces esprits commençaient à lui revenir. Il prit ainsi tout l’ampleur de sa situation précaire. Suspendue a 5 pieds du sol dans une cage, visiblement très petite, trop petite pour pouvoir se mettre un temps sois peu a son aise. Recroqueviller sur lui-même, un plateau en argent avec un couvercle cachais son contenue tout juste devant lui. Zdravo alluma une chandelle devant lui brisant sa méditation.

Valtazath : ou sommes nous?
Zdravo : dans mon nouveau repère.


Allumant les torches accrochées un peu partout, Valtazath constata enfin l’étendue de son environnement. Il se trouvait décidément dans un laboratoire.  Zdravo l’invita a ce servir du plat qui ce présentais devant lui. Valtazath tendit le bras et souleva le couvercle. Il fixa le contenue et l’horreur lui obstrua la gorge. Il lui fallu que d’une fraction de seconde pour se rendre compte de la masse qui se trouvais au centre de l’assiette. La tête coupé et cuite de son ancien maitre Lucius. La bouche grande ouverte avec une pomme en son centre. Les yeux vide et cuit le regardant d’un regard accusateur.

Zdravo : Un problème? Je vous fais un marché, étant donné que c’est probablement votre dernier repas, si vous parvenez à tout manger sans y laissé une miette, je vous laisse partir en vie.


Zdravo lui tendit un couteau et une fourchette qui laissa tomber sur la cuisse de Valtazath. Se dernier les prit et tenta immédiatement de frapper Zdravo. Instantanément Zdravo recula et les poumons du prisonnier se comprimèrent et sa gorge se serra. Au bout de quelques seconde la vie de se dernier était terminé.
Zdravo : Bon maintenant quoi faire de lui. Ho esta!

Zdravo laissa échapper un rire et retourna à ces préparations de potion.
L’idée germa dans la tête de Zdravo, les landes de terra devrais ce préparé a des calamités et des désastres. Il ne devait maintenant que mettre ces plans à exécution. Il devait refonder un ordre selon ces nouveau principes, un maître et un apprentie terminé la luxure maintenant SEUL la puissance était importante et tout les moyens seraient bon pour y accéder. Est-ce que ce monde serait prêt à une tentative de domination d’un nécromancien fou?

La version des officiels de l’empire fut  qu’un nécromancien avait tué la petite délégation diplomatique qui ce rendait chez le peuple Kardar. Lucius avait su garder son anonymat jusqu’a sa mort.
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