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 Les Livres de M.

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Maexi Naelsh, Nébulix

Maexi Naelsh, Nébulix


Messages : 237
Date d'inscription : 04/05/2020

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MessageSujet: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:01

Courtes Histoires Avec Des Morales Négociable

Citation :
Tome 1: Je ne sais pas lire.

Il y avait autrefois un servant qui ne savait pas comment lire. Le jour vint où son maitre lui demanda de lui lire quelque choses, ce à quoi il a dû répondre: "Je ne sais pas lire." Il fut jetté à la rue immédiatement.

Il marcha d'une rue à l'autre, à la recherche d'un salon de thé pour se relaxer et accepter la mauvaise nouvelle. Quand il ne put en trouver une, il décida qu'il ne devait pas être le seul dans cette situation, et ouvrit son propre salon de thé. Les affaires ont prits surprenamment bien, et bientôt l'ex-servant était rendu un homme riche, avec plusieurs salons de thé.

Puis un jour, un assistant lui demanda de lire un rapport de vente, ce à quoi il dût répondre: Je ne sais pas lire. L'assistant n'arrivait pas à le croire, "Si vous êtes devenu riche sans savoir comment lire, imaginez où vous seriez si vous saviez comment." "Oh je sais exactement où je serais", dit l'homme riche. "Je serais un servant."
Fin

Citation :

Tome 2: Comment vivre heureux le reste de ses jours.

Il était une fois une princesse cherchant un prince. Elle envoya une invitation au royaume autours d'elle, précisant qu'elle cherchait quelqu'un avec beaucoup de sensibilité. Elle avait préparer un test pour les nombreux prétendants qui se sont montrés. Tout ce qu'ils avaient à faire, était de dormir sur une grande pile de matelas. Le matin elle leur demanderait comment s'est passé leur nuit. Ils répondaient tous avoir passé une merveilleuse soirée. Et ils ont tous été refusé par la princesse.

Un jour, un prince répondut qu'il n'avait pas pu dormir du tout. "Je sais pas ce que votre tas de matelas a, mais j'avais l'impression d'avoir une fourchette dans le rein toute la nuit." Ils se sont mariés la journée prochaine. La princesse avait posé sous tout les matelas un seul pois vert pour trouver l'homme le plus sensible. Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

Pour les premières semaines, tout était parfait. Le prince se plaignait de tout! C'est exactement l'homme qu'elle voulait. Si la soupe n'était pas trop chaude, les ustensils étaient trop froid. Si la pièce de théâtre n'était pas ennuyeuse, elle était trop bruyante. Mais un jour, tout simplement, la princesse réalisa qu'elle était dans une relation toxique. Non seulement son marri était ennuyant a souhaite, elle l'avait choisi pour cette raison exact.

Elle prit connaissance que son histoire d'amour n'était que deux personnes dont les dysfonctionnements s'agenceait comme deux pièces de casse-tête. Très humble dans les standards royal, elle réalisa être la seule constante dans tout ses soucis. Donc elle plongea dans sa croissance personnelle, se divorca, et viva heureuse le reste de ses jours.
Fin

Citation :

Tome 3: Madame Souffrance

Il y avait autrefois une vieille femme qui n'avait rien d'autre qu'une vieille cabane et un poirier. Son nom était Madame Souffrance. Toute sa famille mangeait de la souffrance, et parfois il n'y avait même pas assez de souffrance pour tout le monde.

Un jour elle fut visiter par un mendiant affamé, qui lui demanda de la nourriture. Elle n'en avait pas assez, mais son coeur était aussi grand que la situation était malheureuse. Donc elle servit le pauvre homme quelque bout de la soupe sans goût qu'elle préparait, et l'invita a une poire. Le clochard retira son manteau, et se dévoila une divinitée, qui lui offrit un souhait de son choix.

Elle mentionna que beaucoup de gens volait ses fruits, ce qui l'empêchait de manger quelque soir. Son souhait était que son poirier soit enchanté pour qu'il emprisonne ceux qui essait de prendre une poire, jusqu'à ce qu'elle les relâche.

Après plusieurs années et plusieurs voleurs, elle se rendu compte que la plupart n'était que des enfants affamés. Elle prit sur elle-même de les nourrir et de les éduquer. Elle devint un pilier de la communautée, d'une nouvelle génération. Toujours heureuse et généreuse, Madame Souffrance termina si vieille que son visage avait l'air d'un genoux d'éléphant. Mais Ankes finit par venir pour elle.

Celui-ci, suivant les protocoles en place, lui demanda sa dernière requête. "Je veux manger une dernière poire de mon poirier," elle dit. "Voulez-vous en prendre une pour moi?" La Mort elle-même monta dans l'arbre pour prendre une poire, et fut emprisonner dans celui-ci. La vieille femme ne relâcha jamais Ankes du piège, et depuis il y a de la Souffrance dans le monde.
Fin

Citation :


Tome 4: Une Bague Magique

Il était une fois un Roi qui avait de la difficulter avec ses émotions. Il ne sentait que des extrêmes, il serait toujours trop excité ou depressif, ce qui l'empêchait de faire quoi que ce soit jusqu'au bout. Juste quand il avait perdu l'espoir de faire quoi que se soit pour son peuple, il fut visiter par un marchand d'objet exotique.

Pour guerrir le Roi de ses soucis, il lui proposa une bague magique, et lui promit que cette bague le rendrait triste lorsque heureux, et heureux lorsque triste. Cela fonctionna comme un charme, et le royaume devint de plus en plus riche.

Quand le Roi mourra finalement de vieillesse, le magicien du château ramassa la bague pour l'étudier. Il se rendut vite compte que la bague n'était pas du tout magique! Mais comment est-ce qu'un anneau non-magique peut vous rendre triste lorsqu'heureux, et heureux lorsque triste?

Elle avait une courte inscription à l'intérieur qui lisait: "Ceci, aussi, se terminera."
Fin

Citation :

Tome 5: Le garçon et son puit.

Il y avait autrefois un jeune homme prisonnier d'un puit. Personne ne savait vraiment comment il était arrivé là. Les gens pensaient qu'il avait tombé en jouant, ou que quelqu'un l'avait poussé. Mais la véritée est qu'il y avait sauter lui-même.

Il passa des années dans le puit, anxieusement, se sentant complètement inadéquat pour le monde extérieur. Il avait un grand désire de partager ses idées avec le monde, mais la honte avait été si grande partie de son apprentissage que sa volonté était entièrement brisée. C'est pourquoi le puit était si bon pour lui. Un endroit où il pouvait être seul, avec ces histoires, sans personne pour le moquer ou le juger. Une vie en sécuritée, vide de but, mais protéger du rejet.

Un jour, alors qu'il faisait des jeu de rôle avec lui-même, un voyageur s'arrêta sur le bord du puit pour l'entendre. Il lui demanda, curieusement, ce qu'il faisait, espèrant pouvoir se joindre au jeu. "Oh rien," dit le gamin "... désolé du bruit." Puis le puit fut silencieux pour plusieurs semaines. Le voyageur, patient et compatissant, resta assit sur le bord du trou tout se temps. Il avait décidé de sa voie. Il allait faire tout en son pouvoir pour sortir cet enfant de là, pour qu'il puisse partager ses histoires avec le monde.

La passion créative refusa de quitter le coeur du garçon, et éventuellement il reprit la parole, et ses histoires. Et donc le voyageur intéragit doucement, lui racontant que ses histoires était intéressante, et rien de honteux. Leur relation se développa très lentement, basé sur des intentions véritablement bonnes et la confiance.

Plusieurs mois plus tard, le voyageur et le garçon était dans le puit, a se raconter des histoires et riant. Le puit était presque rendu populaire, de nombreuse personne s'installant en haut pour écouter les deux parler. "Je ne suis pas le seul qui veut entendre tes histoires," songea le voyageur. "J'ai trop peur de sortir," répondit le jeune homme. "Nul soucis," lui rassura le voyageur, "dit moi quand tu es prêt."

Des années sont passé, et l'imagination du garçon trouva un focus, ses pensées et histoires sont devenu de vrai petit monde. Il décida le jour venu, qu'il allait prendre sa chance et partager sa création avec le monde. Le voyageur l'aida a grimper hors du puit.

Le jeune homme partagea ses idées avec plusieurs personnes, et à sa surprise, ils voulaient l'aider a réaliser son rêve. Avec le support de nouveaux amis, le garçon devenu un écrivain qui pu partager se monde qu'il envisionnait a travers de nombreux livres. J'aimerais vous dire que le tout termina avec gloire et fortune, mais j'ai espoir que je n'ai besoin de vous expliquez que ce n'était pas le but de cette aventure.
Fin

Citation :

Tome 6: Le Périple

Il était autrefois un village installé dans une terre de glace, et neige. La nourriture était rare, mais pas autant que la chaleur. Les plus vieilles histoires parlaient d'un bosquet luxuriant, sécuritaire, abondant, et avec des températures plus que confortable. Le problème est que cette tanière se trouvait de l'autre côté d'une terrible tempête de grêle, qui se produisait toute l'année et qui prendrait des semaines à traverser.

Un jour, un brave couple décida de laisser leur jeune fils derrière pour faire ce que le village appelait "Le Périple". Ils allaient faire toute la route vers la légendaire grotte, et revenir au village pour prouver son existence. Pour ensuite apporter tout le monde vers ce magnifique lieu. Comme tous ceux qui ont essayés le "Le Périple" avant eux... Ils ne sont jamais retourner au village. L'on ne savait si tous était mort sur la route ou bien avait restés de l'autre côté.

Dans les décennies suivante, leurs fils, maintenant un jeune homme grandit avec un seul but dans la tête: compléter "Le Périple." Il se prépara chaque jour de sa vie, et il quitta finalement pour "Le Périple", maintenant plus âgé même ses parents étaient.

Le froid de la tempête n'était, initialement, pas aussi grave qu'il l'avait cru mais le froid glacé fini par faire son chemin dans ses os. Après des jours de marche dans la tempête, sans réaliser que ce n'était qu'une métaphore pour son jeune esprit troublé. Il tomba sur une vue a glacé le sang; Ses parents, tout deux glacés solides, dans un bloc de glace. Le choc fut trop grand. Au lieu de poursuivre sa route, il essaya de les trainer au village. Mais il ne termina pas la route, sans devenir lui-même une partie de ce bloc de glace.
Fin

Citation :

Tome 7: Les Chaudrons du Moldar

Il était une fois un homme visité par une succube. Celle-ci l'invita dans une visite guidée des pires recoins du Moldar. En tant qu'homme tout à fait curieux des demandes de succube, celui-ci accepta, et traversa son portail. Ils sont arrivés dans une pièce où d'immense chaudrons bouillaient en haut de magma. Chacun contenait des groupes de gens, avec des petit démons sur le rebord qui les repoussaient lorsqu'ils essayaient de sortir. "Qui est dans ce chaudron?", demanda l'homme à la succube. "Celui-là? C'est pour les menteurs et les tricheurs", elle expliqua. "Et celui-ci, c'est pour ceux qui chassent pour le plaisir."

Atterré, il a vu un chaudron beaucoup plus grand que les autres, et sans démon sur les rebords. Celui-ci semblait se réguler de lui-même; les gens qui essayaient de sortir était tirés par d'autre à l'intérieur qui essayait de sortir eux-mêmes par la suite. "Et... Pour qui est ce chaudron," demanda-t-il, curieux de savoir qu'elle sorte personne serait si têtu dans leurs idéologies qu'ils préféraient se blesser eux-mêmes plutôt que repenser leurs visions du monde. "Oh, ce chaudron", songea la succube un bref moment, "c'est pour les Kheijans."
Fin

Citation :

Tome 8: La Salée

Il était une fois un garçon affamé, qui ne manquait jamais sa chance d'aider son prochain. C'est ce qu'il terminait tout juste de faire, en transportant de lourde boite pour un fermier. Il lui remit comme paiement une mie de pain. "Tu le mérites gamin, mais tu sais, si tu veux aider encore plus, il y a deux gobelins cachés dans la forêt qui ont encore plus faim que toi." L'enfant était empathique. Son chemin était déjà tracé.

Après une petite marche, il trouva les deux gobelins, et leurs offrit chacun la moitié de son pain. Avec ce geste altruiste, sans espérer rien en retour, le gamin avait brisé la malédiction des gobelins. Effectivement, un esprit les avaient placés sous une malédiction bien ennuyante. Ils avaient été emprisonnés dans la forêt, avec un petit moulin qui pouvait produire tout ce que le porteur souhaitait. Mais celui-ci ne fonctionnerait jamais pour les gobelins, qui serait a jamais affamé.

Pour remercier le garçon, il lui donna le petit moulin et expliqua qu'il devait tourner la manivelle à droite et disant ce qu'il voulait, et la petite machine allait en produire jusqu'à ce qu'il tourne la manivelle à gauche. Après avoir créé un festin pour les gobelins, il retourna dans sa ville pour partager de sa machine. Mais alors qu'il gagnait en popularité, sa grande sœur grandissait en rage et jalousie.

Une nuit, puisqu'elle n'en pouvait plus d'entendre à quel point son frère était parfait, elle vola le petit moulin, et deux tartes pour la route. Et pire encore, elle vola le bateau de pêche de ses parents. Son plan était simple, traverser l'océan vers un nouveau village au loin, et obtenir la popularité que son frère avait gagnée ici. À mi-chemin, elle décida de manger une de ses tartes. Mais trouva, a son désespoir, que celle-ci manquait de sel. Elle demanda donc au moulin de lui faire du sel, et commença à tourner la manivelle. Du sel sorti effectivement, rapidement. Malheureusement, la sœur n'avait jamais porter attention sur comment arrêter le petit moulin. Elle était d'abord ennuyée, puis effrayée, et finalement paniqué. Le sel avait bientôt fait de remplir le bateau, et commencer a le faire couler. Il est dit que le petit moulin fonctionne encore a ce jour, et c'est pourquoi l'eau de mer est salé.
Fin

Citation :

Tome 9: Le Crayon Magique

Il était une fois un village a pommier. De chaque côté de la ville s'étendait des énormes champs de pommiers, jusqu'à en perdre la vue. C'était aujourd'hui que le marchand à jouet était supposé passer en ville. Harold était l'un des jeunes enfants qui attendaient l'arrivé de se marchand avec impatience. Il n'avait pas eu les moyens de s'acheter un jouet la dernière fois, mais ce coup-ci il avait économiser plus qu'assez.

Malheureusement pour Harold, il s'était perdu dans la forêt de pommier lors de ses tâches matinales. Ce n'était pas la première fois qu'il se perdait dans la forêt aux pommes. Chaque chemins semblaient identique, vu d'assez loin.

Le soleil était presque couché lorsqu'Harold retourna finalement au village. Mais le vendeur n'avait plus rien a vendre. Il prit pitié du jeune enfant par contre, et lui donna son crayon utilisé pour noter ses prix. Il raconta a celui-ci que le crayon était magique, mais l'enfant n'y cru pas un mot. Il avait déjà décidé que l'univers était la pour lui donner des leçons, et pas pour l'aider. Il s'endorma sur cette pensée, en serrant le crayon.

Soudainement, à son réveille, il n'était plus chez lui. Il était dans un néant blanc - une page vide. Mais il se rendit compte que le crayon lui permettait de rendre vie a ce qu'il dessinait. Un monde qu'il pouvait finalement contrôler.

Il voulu commencer par faire une forêt assez petite pour ne pas se perdre. Alors il la fait avec un seul arbre. Il ne connaissait que les pommiers, alors s'en était un. Les pommes étaient rouge, et délicieuses. Tellement qu'il ne voulait que personne d'autre les mangent. Alors il a aussi déssiné un dragon sous l'arbre pour le défendre. Le dragon était terrifiant. Il faisait même peur à Harold. Sa main qui tenait le crayon tremblottait. Il venait tout juste de comprendre son erreur. Mais il était déjà trop tard pour Harold.

Fin
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Maexi Naelsh, Nébulix

Maexi Naelsh, Nébulix


Messages : 237
Date d'inscription : 04/05/2020

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MessageSujet: Re: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:02

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le Dénouement de la Mort.

Scène: Le soleil se couche. Le paysage, une plaine vide en automne, est couvert d'une douce lueur orangé. Cinq personnes traverse la route a pleine vitesse, à l'intérieur d'un wagon pendant qu'une douce voix s'en échappe. Le fond du wagon a trois personnages. L'on peut d'abord rencontrer un Kheijan à la gauche, finement vêtu, observant, ennuyé, par la fenêtre. Voisin d'une Hastane largement imposante, vieillissante, qui lisait un petit livre les lèvres pincées. Puis un très vieu Nalkiri à la droite, endormis avec des cheveux qu'il n'a jamais tenté de controller, et une large moustache.

Devant ce trio, un Kardar costaud dans une tenue un peu trop serré et un peu trop galant pour celui-ci. Ainsi qu'un Nargolith, fredonnant un air qu'il termina avec un peu trop d'énergie - réveillant le Nalkiri de ses profonds songes.

Le chanteur, le Nargolith nommé Nehvon Thyglpen, s'énnonce:

Nargolith: Oh pardon, je ne voulais pas vous réveillez.

Nalkiri: Tu même nag réveiller je!

Il s'humidifie les lèvres en clignant des yeux.

Nalkiri: Je nag dormir.

Nargolith: Ha, pas endormi, je vois.

Le Nargolith sourit vers les autres occupants, et fait un clin d'oeil à la dame. Mais elle ne s'enliste pas dans la dérision, et retourne a son livre.

Nargolith: Je m'excuse d'avoir dérangé, si quelqu'un d'autre l'a été.

Il attend un moment pour voir que son invitation a la conversation n'est pas prise, mais c'est le Nalkiri, qui regarde maintenant par la fenêtre qui demande:

Nalkiri: Rester gros temps?

Nargolith: Oh presque rien, presque rien. L'on fait du bon temps. Vous n'avez jamais fait le trajet pour Tyrimar, donc, je me doute.

Nalkiri: Moi? Nag. Toi?

Nargolith: Oh oui, plusieurs, plusieurs fois. L'on y transporte souvent des cargaisons.

Le Nargolith jette un regard vers le plafond pour indiquer le toit du wagon. Le Nalkiri suit le regard.

Nalkiri: Il a toi?

Nargolith: Autant qu'il est a quiconque d'autre, n'est-ce pas Clarence?

Le Kardar trapu hoche simplement.

Hastane: Un être aimé?

Nargolith, en riant doucement: Pour quelqu'un, sûrement!

Kheijan: Vous ne le connaissez pas?

Nargolith: Nous l'avons seulement rencontrer à la fin.

Kardar: A la toute fin. *Rajoute le Kardar, avec un fin sourire.*

Puis le silence reigna un petit moment, quand dans un saut du wagon le nalkiri se lance soudainement, et lourdement

Nalkiri: Je nag avoir visité Tyrimar. Je nag connaitre de beaucoup de villes. Je un chasseur, et je souvent être seul ça dernier cycles. Mais des fois j'aller en ville, avec je fourrure. Vendre. Parler aussi. Ca important de parler a des frindais, pour pratique la. Même si tu rester dans la forêt. C'est toujours bon de parler.

Kheijan: Vay, la prrratique.

Nalkiri: A Citron-ville, je parloter au gens qui être intéréssé. Taverne la, surtout, jusqu'à ce qu'on je demander d'aller ailleurs. Tavernier m'avoir dit fatiguant. Fatiguant? Moi? Comme si intéresser juste par eux nombrils. J'avoir gros a raconter la, ca faire gros longtemps je dans le bois la. J'avoir gros a dire. Malgré que j'avoir eu une femelle avec moi, mais la il y avoir une dame de présent alors. *Se racle la gorge* Une vie a passer au travers de saisons et voyage de gibier. On nag avoir parler.

Nalkiri: Elle muette et sourde. Nag entendre, nag parler. Mais je dire on nag parler, parfois en vrai on parler. A on manière la. Mais on nag se comprendre. Voix d'autre frindai être confort pour oreille quand tu habituer d'entendre juste la nature.

Nalkiri: Une vie a passer au travers de saisons et voyage de gibier. Voix d'autre frindai être confort pour oreille quand tu habituer d'entendre juste la nature. Je dire on nag se comprendre, mais ca nag tout vrai. Je pouvoir lire elle émotions dans elle comportement. Elle gros faché contre je. Mais je nag savoir pourquoi. Et puis, un jour, elle partir.

Silence. Les passengers absorbent l'histoire avec des regards troublés. Puis comme lisant quelque choses dans le regard dégoûter de la Hastane, il réplique vers elle, bruyamment:

Nalkiri: Je nag savoir quoi arrivé a elle.

Kardar, ensuite, plus sympathétique: Est-ce qu'tu l'aimais?

Nalkiri: Je nag savoir si j'avoit deja su son nom, mais j'aller dire que dans facon elle parler, et de facon elle réagir quand je parler, elle visage la, ca je faire comprendre que les gens juste comme des furrets ou lapins yag. Un etre presque comme l'autre, gros gros ressembler. Je nag avoir doute que ca pareil partout.

Hastane: Les gens ne sont pas identique. Il y a deux sortes, très distincte.

Agissant comme modérateur de discution, le Nargolith se lança a demander:

Nargolith: Et lesquels serais-ce, ces deux, Madame ?

Kheijan: Chanceux, et malchanceux.

Kardar: Non non, vigoureux ou fragile. Difficile a mettre au sol, ou pas.

Hastane: Ce ne sont pas les deux sortes. Vous connaissez bien les deux sortes.

Nalkiri: Juste une sorte, je dire! Sauf si tu parler de chasseur et villageois.

Hastane, sa voix stricte ne laissait pas place au débat: Juste ou pécheur. Ne soyez pas idiot.

Nalkiri: Idiot! Yag, je savoir. Idiot fatiguant hein. Tu nag la première personne a tu plaindre de ça sans raison. Je viens je demander d'où tu penser ça. Gens être comme lapin, je dire.

Hastane: Les gens ne sont pas des lapins, et je ne parle pas de mon authorité mais de celui de Kordaken et des Dieux du Zhel.

Nalkiri: Bah religions comme parole, pouvoir être comprise de façon différ...

Hastane, coupe rapidement le Nalkiri: Oui - bien ou mal. Et je parle ici avec une authorité plus grande que la mienne. Mon mari est un prêtre qui a souvent mener des cérémonies, maintenant à la retraite. J'ai le bénéfice de ses connaissances.

Un nouveau silence. Tous s'échange des regards pour voir qui allait tenter de poursuivre cette conversation.

Nargolith: Votre mari n'est pas avec vous.

Hastane: Nous avons été séparé pour quelque temps. Il a été... à l'est. Mais je suis en route pour nos retrouvailles. Ce sera un bonheur de le revoir.

Nargolith: Il vous attend a Tyrimar.

Hastane: Exactement. J'habitais avec ma fille et son mari durant les derniers trois ans.

Le Kheijan lâche un "tch" en secouant la tête, sans pour autant quitter la fenêtre du regard.

Kheijan: Le parrents ne devrrait pas êtrre un farrdeau surr la maison de ses enfants.

Hastane, choquée: Je n'étais pas un fardeau! J'étais bienvenue dans la maison de ma fille.

Le Kheijan rencontre son affirmation avec un sourire sceptique, et cante un peu sa tête pour lui accorder cette fois son attention.

Kheijan: Si vous le dites, bien sûrr. Mais cerrtainement vous pouviez lirre dans leurrs exprressions, comme si bien dit parr le Nalkiri fatiguant, que votrre prrésence n'était pas souhaité. Nous avons tous une vie. Tous une vie, et seulement notrre vie.

Hastane: Vous ne savez rien sur moi et mes affaires!

Kheijan: Je sais que nous avons tous notrre destin, notrre prroprre main. Une fois je jouais au carrte avec un mathal, appelé Lisshtal, c'était il y a trrès longt...

Nalkiri: Drakan?

Kheijan: C'étais un Drrakan, vay. Nous étions...

Nalkiri: Je avoir connu Drakan une fois.

Les intéruption énervent le Kheijan. Il lui donne un long regard de mépris, s'attendant à une nouvelle longue histoire lassante. Mais après un silence étendu du chasseur, il soupire et reprend.

Kheijan: Nous jouons au carrte. Ma main était mauvaise; j'ai plier. Lisshtal et quatrres autrres restaient. Mais Lisshtals me dit, ssherro, jouerrais-tu pour moi pendant que je vais - ahem - vider mon serrpent. Je lui dis, mathal, je ne peux pas parrier pourr toi. Mais bien sûrr tu peux, il dit, l'on se connait si bien - parris comme je parrirrais. Mais c'est bien impossible, ket? Comment quelqu'un joue, c'est décider parr qui il est, par l'entièrreté de son expérrience au carrte jusqu'au moment de parrier. Je ne peux pas jouer pour toi. Pourquoi pas? Je ne peux pas te connaitrre. Pas jusqu'à ce degrrée. L'on doit tous jouer sa prroprre main. Ket, Lisshtal, je dis. L'on peut s'appeler mathal, mais l'on ne peut pas se connaitrre ainsi.

Nalkiri: Tu pouvoir connaitre. Gens comme des lapins.

Hastane, explosivement: Les gens ne sont pas des lapins!

Kheijan: Vous ne me comprrennez pas, mathal. L'on peut se connaitrre, jusqu'à un cerrtain niveau. Mais pas entièrrement - c'est impossible. Pourquoi les jeux de parris sont-ils si intérressant? Carr je ne connais pas ta main, vay. Mais aussi carr je ne te connais pas. Je vois ce que tu parris. Qu'est-ce que ça veut dirre? *hausse les épaules* Je peux deviner - je ne peux pas savoirrr. Sinon il n'y a pas de chance.

Le kheijan s'enfonce dans son siège, l'affaire classée quant à lui.

Hastane, le ton jugeur: Les cartes et les paris... Vous avez poursuit une vie de vice et dissipation. Vous pouvez bien être un expert dans ce sujet, mais les conclusions que vous pouvez en sortir ne vont pas s'appliquer a une vie bien vécu.

Le kheijan hausse les épaules, et offre son sourire le plus supérieur.

Kheijan: La vie est la vie. Les carrtes vont t'apprrendre ce que tu dois savoirrr. Vous parrlez de votrre vie, avec votrre marrri qui vous attend. Vous allez verrs lui carr vous êtes cerrtaine qu'il vous aime encorre comme il y a trrois ans. Et bien, trrois ans. Il y avait une flamme. Vous ne savez pas ce qu'il y a.

Hastane, le visage froncé de rage: Entre personne décente les relations sont éternels. Les gens décents restent vrai - envers les autres, et eux-même.

Le kheijan secoue la tête, et "tch".

Kheijan: La vie est changement, et tout est inconnu. Même ma prroprre vie: je parirs surr ce que j'ai en main maintenant, pas ma derrnièrre main.

Hastane: Qu'est-ce que vous êtes impertinent! Vous me dites que ma fille ne m'aime pas, que mon marri non pl...

Kheijan: S'il vous a déjà aimé! Sans vouloirr vous offenser, Madame, mon point est que l'on ne peut jamais savoirr jusqu'à un niveau si prrofond, et le mot amourr peut avoirr plusieurrs descrription.

Nalkiri, essait d'ajouter mais ce fait couper: Attendre là...

Hastane: Je sais ce que "amour" veut dire! C'est une chose! Pas...

Kheijan: Votre marri était un éducateurr, un prrêcheurr, dirriez-vous, un homme avec beaucoup de charrisme?

Hastane, de plus en plus frustré: Il l'était! Il l'est!

Kheijan: Bon, alorrs, "amour" voudrrait dirre quelque chose de différrent pourr une perrsonne comme lui, une perrsonne qui commande l'amourr de la foule, que l'amourr serrait pourr une perrsonne qui ne peut qu'amadouer l'amour, avec asserrvissement.

Hastane: Je n'ai pas amadouer mon marri! Son amour était gratuitement donné, et endure.

Kheijan: Son amourr est différrent du votrre, c'est tout ce que je dis. La perrsonne admirrée accepte l'amourr comme un trribu. C'est son due. Il donne son amourr comme un honneurr, carr, venant de lui, elle a un grrand prrix. Mais vous, Madame, votrre amour n'a pas forcément une valeure si élevée.

Le silence est remplis par le regard horrifier de la femme. Le Nalkiri, rajoute en regardant le Kheijan.

Nalkiri: Mots blessant nag besoin d'être dire.

Hastane, trouvant finalement ses mots: Comment... Osez-VOUS!

Kheijan: Et bien sûrr le grand homme, l'homme admirré, il peut accepter l'amour des autrres, simplement comme son dû, par ceux qui l'admirre. Et pourquoi pas, si l'admiratrice est chaleureuse. C'est un amour différent du mariage certainement, mais en faite...

Hastane: Espèce! D'horrible! Dégueulasse!

L'hastane frappe, avec le peu de force qu'elle connait, le Kheijan d'un parapluie, avant de s'étouffer dans son col et corset trop sérré. Le Nalkiri lui fait du vent avec sa tête puante d'ours. Le Kardar lui flatte doucement la main pour la calmer.

Kheijan: On devrait arrêter le wagon, la laisser marcher, prendre de l'air!

Nargolith: Il ne va pas l'arrêter.

Kheijan: Il le doit! Nous sommes ses passagers!

Nargolith, froidement: Le cocher n'arrête pas.

Le kheijan l'observe avec confusion, et sort sa tête par la fenêtre pour crier d'arrêter. Le soleil est presque coucher maintenant. La noirceur a commencée à envahir le ciel, et la cabine du wagon. Le kheijhan lui crit d'arrêter. Le cocher ne montre aucun signe de l'entendre.

Le Kheijan rentre la tête dans la cabine maintenant illuminé seulement de la lune. La situation est plus calme. L'hastane est maintenant a reprendre son souffle, et ne semble plus mourrante. Mais tout les passagers ont l'air pâle dans la nuit.

Kheijan: Il ne va pas s'arrêter.

Nargolith, calmement: Il ne s'arrête jamais une fois parti.

L'hastane supplit au Nalkiri d'arrêter de lui faire du vent, ce qu'il fait en replaçant la tête d'ours sur la sienne.

Le silence règne le temps d'inviter le Kardar dans une chanson, une tradition, pour le duo Kardar et Nargolith, que de remplir le trajet de musique.

"Alors que j'marchais sur l'quai,
Qu'est-ce que j'ai vu c'matin tard
Mais mon vieu cher ami,
Enrouler dans l'flannel, dure fut sa vie."

Pour son allure de brute, il avait une douce voix plaisante qui surprit les membres du wagon.

"J'ai approché pour d'mander gentiment,
Pourquoi t'enrouler dans du flannel si blanc?
Mon corps est blesser et désordonné,
Tout par une jeune femme, la flamme d'mon coeur."

Le regard presque hanté, les trois gens devant lui détourne le regard, pensif dans le paysage de plus en plus difficile a voir.

"Trouver six bonne personne pour transporter mon cerceuil,
Six belles femmes pour m'enterrer,
Et donner leur tous un paquet d'roses,
Qu'ils puissent pas m'sentir alors qu'ils vont..."

Un bruit de sanglot. Tous se tourne pour regarder le Nargolith avec un tissu sècher ses larmes.

Nargolith: Pardonnez-moi, je m'excuse. Il la chante chaque voyage, et elle me fait toujours ça.

Il se mouche, et retourne le tissu dans une pochette de sa veste.

Nargolith: L'on penserait, avec le travail que le font, que je ne sais pas si...

Nalkiri: Quoi vous faire?

Nargolith: J'aimerais dire que nous sommes des faucheurs. N'est-ce pas, Clarence?

Kardar: Des récolteurs d'âmes.

Nargolith: L'on aide les gens, ceux qui ont été jugé a être... mûr.

Nalkiri: Alors être...

Le Nargolith essait de trouver d'autres mots pour expliquer, mais ne semble pas satisfait des idées qui montent sur le bout de sa langue.


Nargolith: Et bien certain nous appeleraient, oh mais c'est un mot horrible...

Nalkiri: Des chasseurs de primes!

Nargolith: Ha, si littérale, si cruel! Jiu, bien, "chasseur de prime", un titre si horrible, comme si la commission serait le but. C'est un travail comme un autre, le cordonnier n'est-il pas payer pour ses souliers? Je ne m'excuse pas de le faire, et Clarence silaie plus.

Clarence hoche a moitié pour confirmer, et secoue a moitier pour ne pas s'excuser.

Nalkiri: Celui sur toit, il avoir été recherché?

Nargolith: Monsieur Thorp était très voulu, si l'on juge de ce qu'on a payé pour lui.

Nalkiri: Quoi il avoir fait?

Nargolith: Oh je ne sais pas, est-ce important? Comme a dit la Madame, il y a deux types de personnes. Pour moi ils sont: mort, ou vivant.

Kardar: C'est c'qu'ils d'mandent.

Nargolith: Mais pour nous c'est une disctinction sans une différence.

Kardar: Payé, t'façon.

Kheijan: Donc vous les prennez vivant?

Nargolith, avec un sourire carnassier: Je n'ai pas dit ça.

Le silence. Brisé de nouveau par un homme fatiguant.

Nalkiri: Moi nag plus! Pas les prendre vivant. Quoi que pas le même sorte de travail. Et je travailler seul.

Nargolith: Ha jiu, nous somme un duo. Un tandem. Une équipe. Ils sont si facile a prendre quand ils sont distrait, les gens. Donc je suis le distracteur, avec une petite histoire, une petite conversation, une chanson, un étincelle! Et Clarence les frappe pendant que leur attention est sur moi.

Clarence rit doucement.

Kardar: Il est très bon lui, vous devriez le voir.

Nargolith: Silaie, il est vraiment bon.

Kardar, modeste: J'peux assomer.

Nargolith: Monsieur Thorp, là haut. Une tâche bien ordinaire. Je lui ai raconter l'histoire du Visiteur de Minuit.

Le Nargolith et son visage deviennent froid, de marbre, mais illuminé parfaitement par un rayon de la lune. Il donne trois lourd coup de pied, bien distancer, bien fort, qui surprend les trois passagers de petit saut. Puis regarde autours, les yeux grands ouverts dans une fausse peur.

Nargolith: Quelqu'un est dehors! Il cogne! Oh qui est-ce que ça pourrait être! N'ouvres pas, Mère, aucune créature ne pourrait survivre à la tempête dehors!

Le Nargolith sourit en sortant du rôle, et garde un sourire en expliquant joyeusement.

Nargolith: Vous connaissez l'histoire, mais les gens ne peuvent pas en entendre assez, de ces histoires familières, comme de jeunes enfants. C'est car ils se connectent à ces histoires, je suppose, et l'on aime tous entendre parler de nous, encore et encore. Tant que les gens dans l'histoire sont nous - mais pas nous. Surtout pas à la fin. Le Visiteur de minuit attrape "lui", jamais "moi". Je vais vivre pour toujours.

Le Nargolith a un regard qui glisse vers la fenêtre, pensif le temps d'un instant, comme s'il venait de découvrir quelque choses de nouveau. Puis retourne vers le publique, rapidement, et explique tout bonnement.

Nargolith: Donc je raconte l'histoire. Et Clarence frappe.

Kardar: Il est vraiment bon.

Les gens essaient de distancer leurs regards vers les fenêtres pour se changer les idées. Mais ils ne vont pas bien loin avant que le Nargolith reprend, comme pensant a voix hautes cette fois.

Nargolith, sans cligner des yeux: Je dois admettre... c'est toujours intéressant de les regarder après que Clarence travail son art. Les regarder négocier leurs... passage.

Kheijan: Passage...?

Le Nargolith s'approche un peu vers l'avant, la voix plus douce.

Nargolith: De l'autre côté, d'ici à là-bas. Essayer de comprendre... le sens alors qu'ils passent à la prochaine. J'avoue que j'aime regarder dans leurs yeux alors qu'ils essaient de comprendre...

Nalkiri: Comprendre sens... de quoi?

Nargolith: De tout.

Du silence, avant que l'Hastane demande, hésitante.

Hastane: Et... est-ce qu'ils y arrivent?

Le Nargolith la regarde gravement. Puis vers les autres, avant d'offrir un sourire carnassier.

Nargolith: Comment pourrais-je savoir? Je ne fais que regarder.

Cocher: Hyah! Woah!

Le wagon s'arrête. Ils sont a Tyrimar. Il y a une auberge, une large porte droit devant la sortie du wagon. C'est en pleine nuit, tout parait gris. Un silence mortel. Personne dehors, aucun mouvement. Seule quelque torches autours des portes de l'auberge. Les trois passagers ne semblent pas inquièt de déscendre rapidement.

Mais le Nargolith n'hésite pas a déscendre, fébrilement, pour récupérer Monsieur Thorp avec Clarence.

Nargolith: Monsieur Thorp ira dans votre chambre, Clarence. Je ne m'imagine pas l'avoir dans la mienne.

Kardar: Comme vous voulez.

On attend le cadavre se faire libérer du toit.

Nargolith: Ou bien on pourrait l'installer devant le foyer, une petite surprise pour le matin!

Kardar: Donnons lui un journal, ouais ! Et un verre d'whisky !

Par la fenêtre, on voit le corps enrouler dans du tissu se faire prendre pied premier part le Nargolith, et le haut du corps par le Kardar, qui l'échape au sol avant de rapidement le reprendre.

Nargolith: Si maladroit!

Kardar: Pardon m'sieur.

Nargolith: Ce n'est pas moi qui a besoin de vos excuses. C'est Monsieur Thorp, silaie?

Le Nargolith et le Kardar se dirige dans l'auberge avec le Kardar. Leurs pas soulevant de la poussière qui ne se dissipe pas. Leurs voix s'éloigne, mais est toujours audible dans la mort de l'air. Le coché, enveloppé dans tout son tissu dévence le duo pour ouvrir la porte, et disparaitre a l'intérieur.

Nargolith: Blague a part, votre chambre, je crois, Clarence.

Kardar: Si vous l'dites, m'sieur.

Nargolith: Aucune crainte qu'il ronfle.

Kardar: J'ai pas peur.

Nargolith: Tu n'as jamais peur. Une de tes qualitées.

Kardar: Merci bien.

Les passagers regardent. Personne ne fait de mouvement pour partir. Alors que les deux chasseurs de primes disparaissent dans l'auberge, ils manquent quelque choses a regarder. Et donc ils s'observent, malaisé. Le Nalkiri fait un geste au Kheijan de passer devant.

Nalkiri: Aller.

Kheijan: Oh aprrès vous.

Nalkiri: Femme avant.

Hastane: Je dois être aidé a sortir.

Le Nalkiri se racle la gorge, et commence a ouvrir la porte ayant trouver sa résolution. Il descend et offre sa main a la Dame. Elle n'a rien d'autre a faire que déscendre. Puis le Kheijan se doit de suivre a son tour.

Ils se dirigent en fil vers l'auberge, le visage plus pâle dans la froideur de la nuit. Le coché ressort de l'auberge dans le craquement de bois. Il marche vers eux, puis a travers. Tout manteau, gants, foulard et bottes - l'on ne voit aucune face. Juste une fente pour les yeux sous son chapeau.

Les trois passagers atteignent la porte, la Madame d'abord. Mais elle ne fait pas de mouvement pour l'ouvrir. Le bruit soudain du coché qui reprend sa route bruyante derrière.

Hastane: Est-ce que quelqu'un m'ouvrirait la porte? Je dois rencontrer mon marri.

Le Nalkiri le fait. A l'intérieur, l'hotel est illuminer de faible chaleur. Le batiment semble profond, et vieux. L'on peut voir le Nargolith et le Kardar monter un escalier au centre de la pièce, cadavre toujours en main.

Nargolith, le son lointain alors qu'il montait les marche avec le cadavre: Un, deux, trois... et un, deux, trois... et...

La Hastane rentre, suivis du Nalkiri. L'on voit le wagon terminer de faire son tour et repartir d'où il est venu. Le Kheijan garde son regard sur la rue un moment, et suit la caravane des yeux un moment. La ville reste sans mouvement, sans bruit sauf la caravane qui reprend son chemin.

Puis le bruit disparait lentement.

Le Kheijan, essayant de garder un degrée d'insouciance, et réussit presque, tourne, rentre dans l'auberge, et ferme la porte derrière lui.
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MessageSujet: Re: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:05

La Délusion
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Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Première Partie: Psychose

Et maintenant nous devons parler de Shuanshu, qui s'est endormis un jour et rêva d'être un papillon. Pendant des heures, il vola dans le soleil chaud de l'hiver, jusqu'à oublier d'être Shuanshu. Soudainement il s'est réveiller, et il était Shuanshu a nouveau. Mais dans ce moment, il ne savait plus. Était-il Shuanshu qui avait rêvé d'être un papillon, ou un papillon qui rêvait d'être Shuanshu?

Une délusion commence comme toute autre idée, comme un œuf. Identique de l'extérieur, sans défaut. De la coquille, vous ne pourriez jamais savoir que quelque chose n'allait pas. Mais c'est l'intérieur qui est important.

Albert a déjà eu une idée. Un jour alors qu'il marchait, il a trébuché. Et pour un moment, il semblait que sa jambe droite ne lui appartenait pas. C'est ainsi que le processus commence. C'était clairement la jambe d'Albert. Elle était attachée a son corps et quand il la pinçait, il sentait de la douleur. Mais malgré tout, l'idée a grandis. C'est le pouvoir d'une idée. À chaque nouveau jour, Albert était de plus en plus certain que ce n'était pas sa jambe. Il a décidé qu'il ne la voulait plus. Et donc, après un certain temps, il est finalement aller s'acheter une scie.

Mais une idée seule n'est pas assez. Nous avons des idées constamment, des pensées et théories aléatoires. La plupart meurent avant de pouvoir grandir. Pour qu'une délusion grandit, d'autre idées davantage rationnelles doivent être rejeté, détruite. C'est a ce moment qu'une délusion peut vraiment fleurir... en pure psychose.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Deuxième Partie: Trouble

Vous avez certainement entendu parler de l'effet placebo. Mais connaissez-vous l'effet nocebo? Où le corps a un effet négatif a une conséquence impliqué. Si l'on suggère assez fortement que de l'eau sucré peut faire vomir, la personne viser pourrait, en réponse, vomir. Votre esprit a le pouvoir de créer sa propre réalitée physique.

Le corps a le pouvoir de convertir un stress mental a une réponse physique. Comme un tic, ou un spasme. Cela s'appele un trouble dissociatif de conversion. Et, comme pour chaque trouble médical, il peut être contagieux. Ce genre de comportement n'est pas limité aux êtres humains. Des troupeaux en débandade. Des oiseaux qui s'envole par centaines au moindre son.

L'on sait, que dans certaines communautés, dans des certaines circonstances, un symptome involontaire developpé par une seule personne peut devenir viral. Et ce partager. De personne, a personne, a personne. Jusqu'à ce que tout le monde est infecté. Et donc ma question pour vous est la suivante: si l'idée d'une maladie peut devenir une maladie, qu'est-ce qu'il y a d'autre dans notre réalitée qui est un trouble médical partagé?

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Troisième Partie: Folie

"La réalité est ce qui, lorsque l'on arrête de croire en elle, continue d'exister." Pour une tique, la réalitée est un produit de température et d'acide butyrique. Sa perception du monde est sa réalitée. Certain chiens peuvent sentir quelque choses a 20 kilomètres de distance. Leurs perception de la réalitée est donc principalement relier a l'odeur. Un chien ne raisonne pas. Une tique ne pense jamais sur l'état de l'univers d'une autre manière que par son intéraction biologique avec l'univers.

Mais les êtres humains, en revanche... Imaginez un enfant. D'un jeune age, l'on lui apprend faussement. Cette couleur est rouge. Cette couleur est verte. Son intéraction individuel avec l'univers n'a aucun moyen de le corriger organiquement. Il ne peut pas apprendre autrement a moins de le convaincre que ses idées ne tiennent pas de la réalitée.

Nous sommes des rares créatures qui forment des idées sur notre univers. L'on ne le perçoit pas a travers notre corps, mais notre esprit. L'on doit tous être d'accord sur ce qui est réel. Et c'est pour cela que nous sommes des rares créatures qui peuvent devenir folle.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Quatrième Partie: Panique

La panique morale est décrite comme de l'anxiété publique ou un alarme comme réponse a un danger perçu au standard morale de la société. La route vers la panique morale a plusieurs arrêts. Le premier, est l'inquiétude. Cette inquiétude, d'abord limité, se propage d'une personne a l'autre. Amplifié par les forces culturelles de la société jusqu'à ce qu'une inquiétude rationnelle devient une peur irrationnelle.

Les gens commencent à croire que quelque choses d'horrible se produit. Quelque choses qu'ils ne peuvent pas voir. Qu'ils ne peuvent pas contrôler. C'est arriver a "d'autre". Cela va leur arriver. Et peu importe si la menace est vraie ou non, la réponse l'est. Et elle est souvent excessive. Demandez-vous ce qui est plus terrifiant : la peur, ou les gens atteints de celle-ci ?

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Cinquième Partie: Narcissisme

L'on arrive maintenant, à la délusion la plus alarmante de toute. L'idée que les autres personnes n'ont pas d'importance. Leurs sentiments, leurs besoins. Imaginez une caverne où ceux à l'intérieur ne voit jamais le monde à l'extérieur. Au lieu, ils voient des ombres de ce monde projeter sur le mur de la caverne. Ces ombres ne reflètent pas la réalité telle qu'elle l'est vraiment. Mais pour eux, c'est la seule réalité. Si vous tentez de leur expliquer le monde comme il l'est vraiment, l'idée serait rejeté comme incompréhensible.

Maintenant imaginez si au lieu d'être dans une caverne, vous étiez dans le véritable monde, sauf que vous ne le voyez pas vraiment. Car vous n'y portez pas attention. Car vous faites confiance que le monde que vous voyez à travers votre prisme était la seule vérité. Mais il y a une différence. Car contrairement a allégorie de la caverne, où les gens sont réels et les ombres sont fausses. Ici, les autres gens sont les ombres. Leurs visages, leurs vies. C'est là la délusion du narcissique, qui croit que lui seul existe véritablement.

Leurs sentiments sont les seuls qui sont important, car les autres personnes ne sont que des ombres, et les ombres ne sentent rien. Car ils n'existent pas vraiment. Mais qu'est-ce qui arrive quand tout le monde vie dans ces cavernes? Alors personne n'existerait. Même pas vous. À moins qu'un jour vous décidez de sortir de la caverne. Comment étrange serait la lumière après une vie a n'observer que les ombres.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La Délusion, Conclusion:

Alors qu'avons-nous apprit ?

Que la délusion est une idée. Qu'une idée peut devenir contagieuse. Que nous préférons des idées qui remplissent notre préconçu. En d'autre mot, l'on ne croit pas ce que le voit. L'on voit ce que l'on croit.

Et que quand nous sommes sous du stress, ou que nos idéaux sont contesté - quand l'on se sent en danger - nos idées peuvent devenir irrationnelle. Les délusions se multiplent et se développent, pendant que notre esprit essai de garder son identité. Lorsque ceci se produit, ce qui a commencé comme un simple œuf peut devenir un horrible monstre.
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MessageSujet: Re: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:06

Les Histoires Audacieuses


Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le Salon d'Ysmérelda


Les hommes entrechoquaient mollement leurs rapière en pleine rue, devant les yeux ébahis de toute mademoiselles présente. Les Monsieurs et messir cependant, l'observait avec ennuie visible. C'était des jeux auquels ils se jouaient bien plus souvent en coulisse secrete qu'en pleine pièces. Ces deux hommes étaient pour l'un le prêtre Cabal de Largebois, et l'homme a tout-faire Corvo d'Atention. Ils étaient frères non pas de sang, non pas famille lointaine, non pas d'amitier particulier... Mais de nation. Leurs spectacle était prévu pour comparer leurs honneurs et leurs dignité a la vue de tous.

Mais cela leurs valu reprimende de la garde, et tout deux fut chastié d'une rencontre avec la charmante Ysmérelda pour juger de leurs états physiques, et mental. Là était une femme avec la gorge vaste et riche, qui attirait les regard de tous hommes qui pensait avec plus d'un cerveau. Celle-ci devra étudier la contenance de ces deux hommes, et jugé de ce qu'ils devaient recevoir comme conséquence a la fin de leurs scéance.

Dans les bureaux sombrement drapées d'Ysmérelda, elle rencontra d'abord le robuste Corvo. Il était de la tête au pied, bien rasé et propre. La vue de la figure délicieuse de la femme de soin avait toujours pour effet de faire dresser à l'attention le petit Corvo d'Atention. Tellement qu'il n'entendu pas un mot de la femme, jusqu'à ce qu'elle le force a s'asseoir avec geste si fort qu'elle termina dans ses bras, au sol. Pleine dans l'étreinte de l'homme, elle pu immédiatement sentir la partie de celui-ci qui souffrait le plus. L'homme et la femme ont prit énormement de temps a s'imprégner des besoins de l'un et de l'autre, dans une discution que l'on pouvait entendre oeuvrer a travers murs après murs.

La nuit maintenant tombé, Ysmérelda dû se rendre au luxurieux moine Cabal de Grandbois là où il se trouvait; les bains de Citria. Et la vision qui s'étenda face a elle, avant qu'elle ne se retourne... Je suis completment nu exclama Cabel à la vue de la chaste femme. Je le suis aussi, répondu Ysmérelda d'une petite voix, sous mes vetements. Laissez moi dans se cas couvrir mon précieux et épais equipement répliqua le moine. Il couvrit sa fabuleuse lance et ses deux fier bouclier d'un tissu apte a couvrir tel encombrant paquet. Le couple d'Hastane maintenant nu, sous leurs vêtements, firent rencontre dans l'eau. Les fabrique flottane laissait peu a l'imagination, mais l'on pouvait toujours continuer d'imaginer plusieurs scènes. Ainsi tard dans la nuit, et seul dans l'océan qu'était le bain publique de Citria, leurs esprits ont valsés ensemble, fourrer comme l'était le silence face a leurs tirade.

Après la nuit embrasé d'entretien brûlant, Ysmérelda se vu consterné quand son assistant Arthuron de Montagnepelter assigna une rencontre le matin même a Corvo et Cabal dans la même toute petite pièce, en même temps. Les deux gentilhommes ont apportés des fleurs à la douce, intélligente femme. Mais à la vu d'un bouquet et de l'autre, ils ont terminés en intense combat. N'ayant aucune arme a portée de main outre leurs corps, ils ont prit étreinte de leurs muscle pour serrer leurs adversaire jusqu'à l'inconscience. La sueur perlait sur leurs front, leurs biceps, leurs torses découvert, leurs fermes cuisses. Il roulait enrouler l'un sur l'autre sur le tapis robuste et large, leurs rage expliqué seulement par les grognements d'effort qui les stimulait.

Ce n'est que le ronronement d'Ysmérelda qui arrêta l'union des deux hommes. Ils savaient tout deux qu'ils avaient leurs différent, et que seule les paroles pénétrante d'Ysmérelda pouvait décidé lequel des deux hommes avaient toucher le plus près de la victoire. Mais pour toute ses connaissances en la matière, l'enchantrice ne pouvait pas prendre décision. Pas sans avant avoir eu un entretien avec les deux hommes en même temps...

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le Château de BonChâteau

C'était en plein milieu de la nuit que la servante Sèléna VraiCoupe-chou fut réveillée par une cloche. Ce n'était généralement pas surprenant, mais le Maître du château, Dorâne BonChâteau, s'était absenté pour affaire à Kar, et il était d'habitude celui qui demandait l'assistance de ses mains tard la nuit. Et au contraire de son opposé, la Maîtresse Malène était parfaitement capable d'assouvir a ses propres besoins. Mais celle au poste inférieure savait qu'elle devait répondre a tout besoins physiques de ses patrons.

Elle montait les marches de ses quartiers vers ceux plus prestigieux. Elle entendait deux voix féminines en discutions. Les bouteilles d'alcool laissaient croire qu'une armée était passée, mais il n'y avait que deux coupes. Leurs deux robes étaient collés sur elle comme des guenilles mouillés en fin de soirée, alors qu'un rire presque impossible à chasser les gardait proche l'une de l'autre. Sèléna était titillée et intéressée de la scène hors norme qui s'étendait devant ses yeux. La cloche ne l'avait pas tant appelé, qu'elle avait tombé au sol durant un concours de chatouille toujours en cours. Les mains de l'une comme l'autre ne pouvait pas s'empêcher de toucher et d'agripper les endroits les plus sensibles au touché, leurs faisant lâcher cri après cri de pure joie.

Mais toute l'action s'arrêta quand Malène, et sa copine Valirelà de Jupecourte, aperçu leur timide espionne. Au moins deux sourires narquois ont fait leurs apparitions, en lui demandant d'approcher leurs ménage. Les robes d'haute facture était parfois difficile à retirer seul, mais les doigts magiques de Sèléna n'a pas eu de difficulté à se charger de la tâche sous la commande ses maîtresses de la soirée. Mais ses joues ont pris de couleur que quand elle pue sentir n'être pas la seule à donner le service. Le souffle en vapeur, elle fut tirée et poussée dans la buée de la baignoire. Retenu, mais pas contre ses désirs, la curieuse Sèléna reçu les plus doux des soins aux mains des expertes. Il y avait peu de savons, mais elles savaient où frotter pour la rendre bienséante. Elle entendait de nouveau les rires aigus, cette fois de ses propres lèvres. Elle se sentait reprendre vie sous les massages tendre de Malène, et la susurration collé de Valirelà.

Cependant, ce fut le stimulant claquement de la cravache de Valirelà qui donna à la soirée une toute autre flaveur. Elle n'avait jamais eu un jouet si docile que celle-ci, et n'allait pas passer toute la soirée sans appliquer sa discipline. Discipline qu'elle voulait recevoir de l'hésitante Sèléna. Les deux maîtresses ont laissés leurs sensibilité se rencontrer, avant d'ordonner la punition des mains de leurs inférieur. Elle n'était armée que de la cravache, et d'un puissant désir d'assouvir les désirs de ses enseignantes. Les plaintes ressortaient contre le châtiment, mais les deux femmes étaient désormais liées d'un objet dont elles ne voulaient se séparer, et pourtant essayait au va-et-vient de s'en défaire.

Au fil de la soirée, les rôles ont commencés à se mêler et se mélanger. Dans la chaleur du bain, il n'y avait que les trois femmes, le fouet, la vapeur et le bruit de leurs voix. Jusqu'à ce que la cloche a l'entrée du manoir ne sonne...

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le Château de BonChâteau partie 2

La mademoiselle Livrelé DuCiel déambula jusqu'au château BonChâteau. Une vendeuse d'esthétique artistique au goût coquet, elle suivit l'invitation oubliée de la Gouverneur Malène de venir proposer ses atouts au Manoir, tard, tard dans la nuit. Elle fut acceuilli à la porte par trois femmes chaudes d'un bain, vêtu de rien de plus qu'une serviette autours de leurs courbes. Ses talents étaient visiblement grandement requis.

Elles furent dirigées dans la grande chambre, ornée en son centre par un lit pour quatre, et entourer d'étagère de vêtements après vêtements. Malène et Valirelà ont commencer a se servir sans instruction, passant d'un tissu à l'autre sans gêne, alors que Sèléna laissait ses mains, baladeuse depuis peu, éfleurer leurs peau avec l'envie de dévêtir plus que revêtir. Devant cette orgie de vêtements, Livrelé savait qu'elle allait devoir entraîner par exemple.

Elle passa dans le tour de la pièce pour s'armer d'outil contre l'anatomie de ses clientes, qui avait trouver de quoi essayer entre elle sur le lit. Elle enviait la distance entre les autres Hastanes, alors que ses joues optaient pour communiquer son intérêt. Livrelé enfile sa tenue sans qu'un regard se pose sur son changement. Elle partie à la recherche de sa première partenaire, aggripant une paire de hanche dans le tas pour tirer son jouet de la soirée.

Elle se retrouva corps à corps avec Valirelà, couverte de sueur et portant le parfum du désir. Ivre de sa jouissance, la plus robuste Hastane explora les vêtements offert directement offert sur le corps de l'artiste. Non pas en touchant ceux-ci, mais en tâtant les endroits manquant de couverture, et accèlérant la démonstration de peau. La courte jupe avait certainement été un choix involontairement voulu. Alors que le sous de ses vêtements glissa au sol, la vendeuse se laissa devenir servante de son énergie. L'abadon de son corps ne fut pas manqué des deux patronnes restant. Celles-ci se dirigèrent pour bien entourer le couple, aussi vêtu qu'un ver.

Reconnaissant maintenant la visiteuse comme une grande amie a leurs festivité nocturne, des baisers d'acceuil fut poser sur des lèvres, des caresses lui ont entouré la poitrine. L'affection coulait sur le lit comme une fontaine. Les ongles rencontraient chaire, et aggripait la couverture malmenée. Leur dance naturelement malsaine attira des cris rauques et enjoués. Les couples étaient constament échanger ou partager, d'étranges objets fut tester et manipuler par les diverses plaignantes. Leur discution sans mots remplissait des trous en elle-même qu'elles n'avaient jamais si bien explorer. L'on pouvait y trouver parfois confort, parfois rage, sans qu'un ou l'autre ne soit déplaisant.

L'écho de leur valse pouvait s'entendre à travers tout le château, la nuit elle-même ne voulait pas terminer tellement la lune souhaitait espionner leurs bal de sens flatté. Mais cela n'empêcha pas les soleils de se lever.
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MessageSujet: Re: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:09

Les Poèmes


Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Dans une étagère bien en vu, avait commencé a s'ajouter des livres signés par un M extravaguant. Tout livre ici pouvait être lu si l'on visite la bibliothèque de Sombrum.

Citation :

Une Marche

Adonc qu'en dernier lieu le soleil creuse l'avenue vers son lit vous libérez le bar aromatique, rencontrant les ruelles dépourvu d'existence à l'extérieur, désaxé dans la brume. Vous connaissez le chemin vers votre chambre mais vous n'arrivez pas à la pensée de le prendre.

Omniprésent dans le centre de l'enceinte acropole vous zieutez les jardins de velours au delà des couleurs de fenêtre de boutique de restaurant. Vos yeux moelleux errent comme étranger, le minois brûlé d'une chandelle d'en bas et l'oeil d'hautain lampadaire d'en haut. Les pas que vous forcez sont noyés isolément doucement enveloppé d'une violence inexploré neuve qui vous transporte futurement vers l'avant.

La nuit fleurit à l'avantage, la lumière plus qu'assez grisâtre. Le ciel tourne jusqu'à l'obsidienne et les même vieux doute joué rejoue dans l'ensemble d'un songe. L'élan d'une force supplémentaire que la vôtre pousse vers l'antérieurement. Alternant, dedans et dehors, luminosité argentée au différentes entrées, effectuant une sortie dans la basse borgnon encore et encore; un triste délice chagrine votre vision.

Les soupirs d'un passé se délectent intimement dans les lanternes brouillarde en périphérie. Vos pieds tâtonnent sans peur les innombrables dalles, l’écho étant les seuls chuchotements partageant la route. Le bazar loin derrière, cette dernière lumière progressivement vôtre s'éteint âprement. Une étoile de plus a ajoutée dans les toiles de vos regrets, maintenant simplement l'unique des repères de l'opacitée de la citée. La route n'est plus une existance pour vos yeux occupés vers évènements, d'ancien vestige vivifie vos savates vers l'avant.

Le sens du temps rendu trop loin, glissé dans les rues cendrées au noyau du sein du village. Arrivez à une destination que vous n'avez jamais oublié d'avoir connu d'un rêve, la brume du sol et le brouillard du ciel se libère. Accueillis par la Lune, une froide chaleur vous envahi l'échine. Il s'agit d'un instant où périphérie était toute couleur et perdu sauf pour la pluie argentée de la nuit. Une palette vide, un lac de mercure et poussière, obsidienne et velours. Nasticia était seule beautée d'ivoire enflammé.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
sans titre

Surgissant à travers le portail de minuit, vous sentez une sensation l’échine coupant verticalement jusqu’à votre cou. Une avalanche de mépris et de colère dévie avec une vélocité d'insupportable degrée qui rampe dans vos yeux, alors que vous poussez pour une nouvelle heure dans les profondeurs de la nuit.

Aussitôt arrivé aussitôt que la tornade disparaît. Libéré d’une douleure éternelle qui mourra dans son crescendo final. Elle qui avait attendu pour rien, désirant sa libertée. Relâché de son triste, léthargique sentiment du crépuscule. Délaissé après un éon de guerre avec le contrat soumis de la tristesse.

Dans les cendres une nouvelle individualité fleurit. Un ange de la saturation en délais, d’amour en aigreur. Elle vous hausse à travers vous-même et dans un nouveau corps. L’esprit qu’une carapace, une plaine, un vide infini. Et dans ce récipient d’être et création vous assumez la fin sans modération, sympathie sans abundance.

Vous accélérez dans une myriade de chemin vide; la vélocité, dont vous étiez captif de, maintenant votre incessant catalyseur. Un utopia d’urgence. Un souvenir sculpté de zèle interminable et de raffinement artificiel. De froide vague cristalline conduite sur une plage synthétique.

La torpeur de fragilité, maintenant brisé, dans un nouveau paradis érudit. Sans aucune griffe, ni dent, ni esprit. Simplement un silence en soi n’attendant pour rien et cherchant à se libérer.

Citation :
La confiance est comme les eaux immobiles d'un marais.
Trop mélancolique pour voir ce qui parait, mystérieusement intransparant.
L'expérience de l'incertitude une cicatrice de ma peine,
Je veux faire le grand plongée sans le pouvoir, constatant:
Mes orteilles sont figées sur le bord de l'abîme.

La confiance est un vignoble argenté étendu,
Oeuf enfouis grandissant en hâte incongru,
En croyant à plus que juste une surface,
Je n'ai que l'angoisse sur ma gorge, sur ma lame,
Mais mes orteilles restent sur le bord du gouffre.

Je vie dans la tension fragile entre la peur et la réalitée,
Mais toute cette lutte éternelle m'a abandonnée, brisée
Sans présence de lumières soeur pour me guider en altitude.
Si doux serait le goût de la certitude.

La confiance est comme le milieu de l'ocean azur,
Sans la possibilité de constater son immensité, je flotte supportée
Je sais que sans mouvement je déscendrai les abysses sûre,
Mais mes membres s'efforcent de ramer au fur et à mesure.

La confiance est comme le nid d'une paruline benoîte,
Choyé et nourrit, rendu à son âge l'oiseau tombe tel phénix,
Avec comme seul vu le sol inébranlabe approchant à sa hâte,
Mais avec l'opportunité de survoler par-delà l'éclipse.

Je veux que la confiance vaut la peine,
Mes orteilles à plus d'un pied du précipice,
Si doux serait le goût de la certitude.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Regarder Derrière

A la fin de la valse volubile alors que le silence reprend l'echo silencieux en bondissant des murs, l'intensité explose dans le creux de vos volcanique songes déchaîné. L'inquiètude qui règnait delivrer à sa royal libération spontanée qui s'enfonce dans l'anfractuosité de vos pulpilles. Le flots d'émotion retenu par votre machoire entremêlé d'elle-même, retenue dans cette conservation dans la conversation incessante au yeux qui ne rêveront que de se fermer à tout pour l'éternité.

Les moments qui suivent sont crispés dans la lumières, chaque pas hérissée par les ombres, chaque paroles horripilés sous les regard des mots. Vos lourd pieds résonnent a travers l'alarme du silence. Un bruit sourd seulement auditif dans les sons uniquement, secretivement soi. Chaque idée l'obstacle d'une solution sur l'aboutissement du résultat dénoué. Le poid s'améliore à l'excès, écrasant les os de votre balance fragile. Aucun choix n'est plus vôtre ni le sera. Chaque pas vers l'arrière, les yeux seulement devant.

Il ne faut qu'un dernier regard pour qu'un poid inconnu prend ses ailes. Ce n'est plus a vous. Libérer d'une entente irréalisé, retirer du devoir insoupçonné d'idée future. La libertée d'un plongeont innacompli s'accomplit partagé dans la rafale fluxueuse de brise dans vos plumes. Porter par un vent de confiance indésiré. L'incertitude n'est plus son piège mais catharsis. Vous vous sentez voler, ou est-ce s'effacer.

Qu'est-ce qui attend, et vais-je l'attendre?

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Après le Saut

L'on s'enfonce progressivement sous la surface chaude de l'abysse tendu à la manière d'une lanterne noyer sous un noyau d'eau, sa luminescence illuminant les torrents tourbillonnant dans l'immobilité d'une peinture en cours. L'on étire la griffe vers la terre a distance où notre âme continue à tord mérité de se torde, dériver sans délivrance dans l'océan de braise. Ici, dans la noirceur du fond l'on attend patiemment de payer le prix de notre sagesse qui s'élève a notre hauteur. Calmement la douleur se présente. Engourdis et sensationnel, intime et vague. Un prisonnier de notre propre refrain, piégé infiniment par un simple moment dans notre propre chanson; un dulcet endormi dans l'abîme hanté par aucun musicien de talent. Tranquillement la tempête du temps rage chaotiquement dans sa dépression abyssale. Est-ce qu'une dépendance saura l'atteindre ou même essayera-t-on ?

L'on sent l'existence d'être se faire battre par le courant classique, comme les cristaux des flocons pulvérisé un a un en se redressant du lit épais d'un brouillard vulgaire. Comme la fumée d'ancien bûcher intensément infini trop lourd pour flotter. L'éloge en pause de sainte argentée, les flammes de sa vision fracassée avec juste assez de peine la fine couche de glace, dissout à fondre les boucles tentantes de la couronne glacée de flammes bleu. L'éloge terminé d'un pèlerin glacé de rouge et de noir, un souffle inutile dans le perpétuel d'une obsidienne noir et d'ivoire blanc, d'un gris absent. Y reste-t-il place a l'éloge pour existence autre, quelque chose sans notre singulier qui lui mérite sa place ? Dans la profondeur de la plongée, la fosse précipite le précipice du gouffre abyssal. L'on peut toujours penser aux lueurs d'antan...Penser.

L'espérance du jardin sauvage enfin inondé d'être aveugle plus jamais, disséque ses idées plus fin et plus fin sans fin, à chaque minute inventée dont on ne peut se passer qui ne savent pas se terminer. Des fantômes simplement dans la brume des astres, s'échappant à vu d'oeil pour prendre sont recule de l'heure, sans discussion pour le climat, les excuses innommés qui n'expliquerait que leurs fautes. La démence rêvée d'un sanctuaire tisser, essoufflé d'un soupir du passé, un odeur dont on ne peut se passer. Un passé qui dans ce creux est immobile a ceux qui le regarde, perdu de tout son sens. Juste une noirceur noueuse. Ombre tordu d'elle-même, déesse de son abysse.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Marionnette Suspendue

Laisses moi me mettre dans tes souliers comme une marionnette vaguement attachée.
Ils étaient si confus qu'un maladroit pourrait avoir tellement de joie,
Ils lisaient tes sourires comme de simple dents et pire...
Ils te regardaient avec pitié première puis incrédulité secondaire.

Laisses moi me mettre dans tes souliers comme une marionnette vaguement attachée.
Ils peuvent bien croire que jamais ils ne deviendraient l'homme que tu aies,
Mais tu n'as jamais éprouvé le besoin de conformer.
Saoulés et drogués simplement pour goûter ce que tu ressens depuis que tu es né.

Je suis attachée par tant de point que je n'ai pas de besoin,
Je vais couper les cordes a mes doigts pour me sentir plus comme toi.

Laisses moi me mettre dans tes souliers comme une marionnette vaguement attachée.
Sentais-tu le poids de leurs arguments, ou est-ce que leurs ignorances était source d'amusement?
Détestais-tu les murmure dans les rues, les rumeurs qui sont apparu?
Opposais-tu leurs pitiés pour tirer le tapis de leurs pieds?

Ils sont effrayés qu'un jour ils terminent dans tes souliers,
Mais tu ne peux qu'en rire, tu n'as rien à perdre.

Ils ne pouvaient tout simplement pas voir, que c'était moi qui avait besoin de toi, pas toi de moi.
Ils ne pouvaient tout simplement pas voir, qu'une marionnette vaguement attachée n'est pas ce que je veux avoir.

Je suis attachée par tant d'idée que je n'ai pas à adopter.
Je vais lousser mes cordes pour marcher dans tes souliers.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:


Citation :
Un vide

Avec l'absence dépourvu vient un vide plus lourd que toute les lunes entrelacées, une replication des coeurs environnant l'environnement avec comme simple envie de se sentir différent. Un manque qu'aucune lumière, pas même le ruban d'argent reflet des étoiles ne pourrait effacer.

Caché a l'envers des bras enclins des fleurs et branche d'arbre incliné, l'argenterie en cheveux ruissele délicatement comme des filaments de tulle; une fée dont le coeur brûlait une multitude de braise. Cruelle amertume d'être sans-forme: d'être absolument rien et incroyablement tout en même temps.

Avec des ailes comme musique, qui s'écharde en parfum dans l'extérieur. Terminée récipient pour du blâme. Un autre triste outil pour ces fantômes bien connu. Des spectres impunis dans l'excès d'ennuie. Une excuse de nature contre nature, avec la violence que d'un sens.

A son dernier soupir il ne reste que les mémoires d'une vie pas encore vécu, d'une chaleur qui n'est plus caressée du temps. Une lanterne qui s'abyssera sous la surface d'un lac d'onyx placide; une lueur a disparaitre. Accompagné de prière désorienté d'âme nouvellement déserté. Une forme d'être qui fond et se change a chaque moment, malléable comme l'inexactitude d'un souvenir usé.

De toute la pureté partagé, pas une seule goûte ne pourra être sauvée du temps. Des larmes dans la pluie. A jamais égaré dans la tempête du labyrinthe de la flore. Une autre sainte sans altars, déesse sans tombeau... Naufragée perdu bien trop tôt.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le noeud

Si content de te revoir
Si heureux, si triomphant ce soir,
Avec l'aide des cieux,
Débarasser de tes vieux démons malicieux.

Mais je reste juste un peu confuse,
Et franchement beaucoup trop curieuse,
De savoir comment tu penses faire tes excuses,
A tout ceux affecté par tes actions douteuses.

Tu te souviens des supplices,
Des malheurs que tu as accompli,
Comme si tu n'étais pas complice
Et tu te tiens désormais affranchi.
Je suppose, par ton oublie?

Réincarné avec soin,
Comme si rien n'était,
Si contente de te revoir si bien,
Si contente de te revoir si distrait.

Et ce n'est pas pour t'enlever ton halo,
Te trainer au sol et t'étrangler avec,
Mais je reste toujours un peu curieuse,
Sur comment tu penses faire tes excuses.
A ceux enterrer par tes mains.


Dernière édition par Maexi Naelsh, Nébulix le Ven 19 Fév - 3:39, édité 1 fois
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Maexi Naelsh, Nébulix

Maexi Naelsh, Nébulix


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MessageSujet: Re: Les Livres de M.    Les Livres de M.  EmptyVen 19 Fév - 3:10

Le Bonheur


Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
Le But du Bonheur

J'ai réfléchi au concept du Bonheur, dernièrement. Tout le monde le cherche, certains disent l'avoir, mais personne ne sait comment l'obtenir. Je crois avoir percé une partie de ce code. Tout le monde a des Buts. Et l'on pense, oh quand j'aurais ça je serai heureuse, ou quand j'aurai accompli cela j'obtiendrai mon bonheur.

J'ai réalisé que les Buts ne rendent pas les gens heureux.

Ils reportent le plaisir dans le futur, à quand le but sera atteint. Mais une fois la réussite atteinte, vous n'êtes plus la même personne qui voulait l'atteindre. De plus, votre état d'esprit est maintenant de chasser quelques choses au lieu d'apprécier ce que vous avez.

Le bonheur n'est pas un but, ou un état, c'est un système. Celui d'optimiser son environnement en choisissant les meilleurs gens, meilleures situations pour s'entourer. Il n'y a aucun besoin de repousser le bonheur si vous pouvez le trouver autour de vous. Quoique cela puisse sembler comme un but lointain, la méthode la plus simple pour commencer n'est pas d'obtenir ses amis ou cette situation, mais d'enlever les éléments de votre vie qui vous irrite.

Retirez le mal, et il ne restera que le bien.

Maexi Naelsh, Nébulix a écrit:
Citation :
La douleur Émotionnelle, ou plus précisément comment on veut l'éviter.


Quoiqu'il semble que l'évitement serait la solution la plus désirable, prendre un deuxième regard dévoile une importante vérité: ce que vous résistez, va persister. En d'autre mots, vous ne pouvez que souffrir de ce que vous n'acceptez pas.

L'anxiété peut être pensée comme deux points dans l'esprit, un pour "ce qui est", et l'autre pour "ce qu'on veut." Dans cette image, la douleur est la distance entre ses deux points. Pour mieux se sentir, cette distance doit être réduite, ou rejointe. Et c'est là qu'une réalisation ennuyante se montre: Il faut apprendre à lâcher prise. Facile à dire. Surtout lorsque cette opinion vient de quelqu'un ayant déjà obtenu cette soi-disant paix intérieure, se faire dire "c'est facile" ne fait que souffrir davantage une âme souffrante en donnant l'impression d'être encore moins adéquate.  

Si l'on prend le temps d'y penser, beaucoup de douleur dans ce monde provient de gens qui ne peuvent soutenir leur anxiété intérieure, et qui tentent donc de transformer "Ce qui est" en "Ce qu'on veut" a travers le contrôle, la force. Imposer sa volonté sur les autres, la véritable définition de l'abus. Ce genre de contrôle pourrait marcher comme stratégie à court terme, mais vraiment le mieu qui se passe est que la douleur est transférée à quelqu'un d'autre.

La difficile véritée à avaler, mais libérant, est qu'il existe un autre moyen de réduire la distance entre ses deux points. Il faut changer "ce qu'on veut" en "ce qui est." En d'autre mots, l'acceptation. En embrassant les émotions négatives, l'on peut les intégrer et finalement les accepter pour ce qu'ils ont à nous apprendre, et également comme preuve que nous sommes bien vivants.

L'acceptation peut mener à une sorte de peine, où l'on devient éventuellement libre d'un mémoire ou d'état d'esprit particulier, jusqu'à ultimement désarmés leurs possibilités de nous affecter. Si cela semble difficile à croire, considérer que cela fonctionne aussi pour les émotions positives. Nous pouvons penser à la nostalgie, par exemple. Peut-être qu'un livre vous rappelle un soir d'hiver sur le bord des flammes, devant un paysage enneigé, ça vous ramène, n'est-ce pas? Mais plus au point, qu'est-ce qui arrive lorsque la nostalgie vous prend? Certainement vous ne résistez pas cette mémoire réchauffante et heureuse qui vous enveloppe. Vous essayez de tout ressentir, et vous faites de votre mieux pour les sentir encore plus, jusqu'à leur plein potentiel, conjurant des images et même des odeurs si vous pouvez assez vous concentrer. Après un trop bref moment, vous sentez la chaleur partir, et comme se réveiller d'un doux rêve, vous perdez le contrôle mental sur ces sentiments qui se dissipent.

Et juste comme ça, vous venez de passer à travers le deuil d'une bonne mémoire. Car vous l'avez accepté au lieu de la résister, son emprise est moins forte sur vous. Vous vous rendrez compte dans le futur que si ce livre peut toujours vous retourner ces vieux souvenirs, ils ne seront jamais aussi fort qu'ils ne viennent de l'être. C'est une triste réalité en ce qui concerne les émotions positives, mais le bon côté est que cela s'applique aussi pour les mauvaises émotions. Si vous êtes frappé de tristesse, éprouver la trahison, ou êtes revisité d'une mauvaise mémoire, en utilisant l'acceptation, l'embrassant complètement, vous pouvez affaiblir sa capacité à vous affecter.

Et éventuellement, pour faire contraste avec la peine que cette réalisation s'appliquer aux bonnes mémoires qui ne peuvent être revisitées, vous allez sentir joie lorsqu'il devient clair qu'une vieille émotion n'a plus le pouvoir de vous affecter. De cette manière, je crois qu'il est possible de dire qu'il y a beauté dans la tristesse.

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