[BG] Les rêves d'Ortazx

(...)

Ambiance:

Trigger warning:

Lorsque Ortazx rouvrit les yeux, il ne se trouvait plus en Mortancia. Jamais il n'avait vu ou s'était souvenue d'un endroit pareil. Devant lui tenait un désert noir et un ciel gris. Des tours se dressait partout autour de lui, tous très éloignées les unes des autres. Quelques silhouettes lointaine se déplaçaient lentement, dans des directions aléatoire, alors que d'autres restaient sans bouger.

Le zombie s'approcha d'une des silhouettes pour mieux la discerner. Marcher vers l'entité la plus proche lui parut prendre des jours. Le désert était immense et les tours ne semblaient pas se rapprocher alors que le zombie voyageait. Alors qu'il marcha vers la créature, Ortazx réalisa deux choses étrange, mise à part tout le reste. Premièrement et simplement, il n'y avait aucun vent dans ce lieu. Deuxièmement il semblait se rapprocher de quelqu'un qui criait. Il ne comprenait pas ce que les cris disaient mais les propos semblait triste et haineux en même temps. Les cris semblait extrêmement loin, aucunes des silhouettes visible ne semblait en être la source. Elle répétait sans cesse plusieurs phrases, toujours les mêmes.

Ortazx arriva finalement devenant zombie immobile, dos à lui. N'étant pas sur si c'était un inhabité il le contourna pour le voir de face. À sa grande surprise il se trouvait devenant frère Xeleron! Son frère ne le regardait même pas et fixait au loin, totalement immobile.

-FrErE! QUOi FaiRe IcI? QUoi EtRe EndRoIT? FrErE?! FeRRErREE?!?!

Xeleron ne répondit pas. Ortazx tenta de communiquer avec son frère durant des heures, en vain. Pour une raison obscure, il était incapable de le toucher ou même de lever ses propres bras. Vaincu par son impuissance, il laissa Xeleron et courut vers d'autre silhouettes.

Toute ces créatures étaient en faite des freres et soeurs. Il rencontra Xithanos qui marchait avec TaeIn et leurs demanda ou ils allaient, en vain. Il rencontra Xandek, Ylgu, Nyz'Aka, Grug et Xzuüh en cercle fixant le ciel gris. Ils croisa un grand nombre de mortanyss qu'il ne connaisait pas. Il crut apercevoir Saknyx voler rapidement au dessus de lui. Ne trouvant personne pour lui répondre il décida de se diriger vers l'une des tours.

Ortazx entendait toujours les cris au loin qui répétait le même discours incompréhensible et avait l'impression d'avoir marcher dans ce désert durant des années. Il réussit quand même a se rendre devant une tour ou se trouvait Roth'Zaka immobile, fixant la dite tour. La structure était cylindrique et munit de plusieurs grandes fenêtres. Ortazx essaya de voir au travers d'une des fenêtres mais l’intérieur était tellement obscure qu'il n'en discernait presque rien. Des choses semblait bouger dans la tours et Roth'Zaka semblait observer ce qui se passait a l’intérieur, comme s'il voyait parfaitement. Après un moment, le revenant se mit a grimper la tour. Incapable de le suivre, Ortazx continua d'errer dans le désert.

Le zombie ne comprenait rien à tout ceci. La seule chose qui lui restait à vérifier était la source des cris qu'il avait entendu depuis qu'il s'était retrouver dans cette endroit. Il décida donc de s'en approcher. Les cris devenait de plus en plus clair et semblait provenir de l'une des tours lointaines. Cette tour semblait différente des autres. Les fenêtres était clair et l’intérieur semblait éclairer. A cette distance Ortazx compris enfin ce que les cris répétaient sans arrêt.

-Je sait que je ne vous ai jamais prier, voir même que j'ai craché sur votre religion toute ma vie... Mais je vous pris de m'écouter, écouter les dernières paroles d'une âme noircit et putride comme la chair de vos abominations. Ne me ramenez pas! Laissez moi mourir avec tout les souvenir de cette triste vie! Laissez tout ces souvenirs mourir avec moi aujourd'hui et pour toujours, je vous en supplie.

La personne qui criait sans cesse était un hastane, à l’intérieur de la tour. Il se tenait debout sur une chaise, une corde au cou relié à la branche d'un arbre. Au moment ou Ortazx pu le voir convenablement, il finit son texte et sauta en bas de la chaise. Alors que le corps inanimé du pendu tournait sur lui-même, le mortanyss vu son visage. C'était le sien.

Ortazx se réveilla.